Window cleaning plus des plaines il
Goodbye harsh cleaning chemicals
2023.06.06 14:13 Impossible-Change-39 Goodbye harsh cleaning chemicals
Say goodbye to harsh chemicals and hello to natural cleaning with our latest blog post! We've rounded up some of the best ways to clean using vinegar, a natural and eco-friendly alternative to traditional cleaning products. From cleaning windows to removing stains, our blog post offers practical tips and tricks to help you harness the power of vinegar and get your home looking its best. Plus, with its antimicrobial properties, vinegar is a great choice for those who want to keep their home clean and healthy without relying on harsh chemicals. Head to our blog now to learn how to clean your home like a pro using vinegar!
https://honesthoneyreviews.blogspot.com/2023/05/the-power-of-vinegar-clever-hacks-for.html
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2023.06.06 14:13 Impossible-Change-39 Goodbye harsh cleaning chemicals!
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2023.06.06 14:12 Impossible-Change-39 Good bye harsh cleaning chemicals!
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2023.06.06 13:47 Sophiche [Lost media] a la recherche des épisodes VF de l’anime Keroro mission titar
Bonjour
Avec plusieurs membres d’un serveur Discord nous recherchons activement les épisodes en version française de l’anime Keroro mission titar
Pour ceux qui ont eu canalsat ou TPS avec teletoon, vous aviez peut être eu la chance de tomber dessus. Pour les autres, il s’agit d’un anime très drôle, burlesque, avec une adaptation de qualité. L’histoire racontant l’arrivée d’une escouade de grenouilles alien sur terre. La diffusion a eu lieu de 2006 à 2011 sur teletoon puis sur IDF1
Si des versions japonaises sont trouvables, par chez nous, l’adaptation peut être considérée comme un lost media vu que depuis la fin de la diffusion de cet anime, il n’y a eu aucune édition dvd, blu Ray, cassette, ni d’édition numérique. Il n’y a plus aucun moyen d’accéder aux épisodes et la série tombe dans l’oubli le plus complet. En 2023, rien que de savoir quelle boîte possède les droits de Keroro en France semble être le parcours du combattant.
Chaque œuvre a sa place, même un anime pour enfant, et il est nécessaire de garantir à tous l’accès à n’importe quel média. Il ne faut pas que Keroro sombre dans l’oubli. Si les ayant droits ne nous écoutent pas, alors faisons le travail nous mêmes et retrouvons les épisodes.
C’est pour cela que depuis quelques jours, nous essayons de retrouver les épisodes et ça porte ses fruits, 6 épisodes ont été déterrés grâce à des personnes qui ont des enregistrements d’époque, comme quoi, l’espoir est permis, mais il en reste tant d’autres !
nous vous demandons, nous vous supplions même, si vous avez un épisode sur un DVD ou cassette gravé dans votre grenier, n’hésitez pas à me contacter et à rejoindre le serveur Discord pour nous aider dans notre quête. N’hésitez pas à en parler autour de vous, nous sommes aussi preneurs de conseils
Bonne journée à vous et merci d’avoir lu
submitted by Sophiche to france [link] [comments]
Avec plusieurs membres d’un serveur Discord nous recherchons activement les épisodes en version française de l’anime Keroro mission titar
Pour ceux qui ont eu canalsat ou TPS avec teletoon, vous aviez peut être eu la chance de tomber dessus. Pour les autres, il s’agit d’un anime très drôle, burlesque, avec une adaptation de qualité. L’histoire racontant l’arrivée d’une escouade de grenouilles alien sur terre. La diffusion a eu lieu de 2006 à 2011 sur teletoon puis sur IDF1
Si des versions japonaises sont trouvables, par chez nous, l’adaptation peut être considérée comme un lost media vu que depuis la fin de la diffusion de cet anime, il n’y a eu aucune édition dvd, blu Ray, cassette, ni d’édition numérique. Il n’y a plus aucun moyen d’accéder aux épisodes et la série tombe dans l’oubli le plus complet. En 2023, rien que de savoir quelle boîte possède les droits de Keroro en France semble être le parcours du combattant.
Chaque œuvre a sa place, même un anime pour enfant, et il est nécessaire de garantir à tous l’accès à n’importe quel média. Il ne faut pas que Keroro sombre dans l’oubli. Si les ayant droits ne nous écoutent pas, alors faisons le travail nous mêmes et retrouvons les épisodes.
C’est pour cela que depuis quelques jours, nous essayons de retrouver les épisodes et ça porte ses fruits, 6 épisodes ont été déterrés grâce à des personnes qui ont des enregistrements d’époque, comme quoi, l’espoir est permis, mais il en reste tant d’autres !
nous vous demandons, nous vous supplions même, si vous avez un épisode sur un DVD ou cassette gravé dans votre grenier, n’hésitez pas à me contacter et à rejoindre le serveur Discord pour nous aider dans notre quête. N’hésitez pas à en parler autour de vous, nous sommes aussi preneurs de conseils
Bonne journée à vous et merci d’avoir lu
2023.06.06 13:27 vigognejdd Streak 68: Fermer les bureaux un jour par semaine
Personnellement, j'aimerais beaucoup voir ce que les résultats seraient dans des autres pays et circonstances, surtout avec les climats différents. La chauffage doit vraiment influencer combien d'énergie utilisent les bureaux. Et alors, j'aimerais savoir comment ça changerait dans les pays où il n'y a pas de chauffage, mais plutôt beaucoup de climatisation entre novembre et février. J'espère vraiment que cette étude sera élargi, parce qu'il me semble très intéressant. Moi, j'aime faire le trajet, parce qu'il sépare les deux côtés de ma vie, ce qui est personnelle et ce qui est le travail, mais je pense que c'est une bonne nouvelle pour les personnes qui font les trajets plus longs et désagréables.
De plus, on entend parler de la semaine de 4 jours souvent sur les infos, et je serais curieux d'apprendre si ces deux concepts pourraient marcher ensemble avec un tel bon impact sur l'environment.
submitted by vigognejdd to WriteStreak [link] [comments]
De plus, on entend parler de la semaine de 4 jours souvent sur les infos, et je serais curieux d'apprendre si ces deux concepts pourraient marcher ensemble avec un tel bon impact sur l'environment.
2023.06.06 13:14 GpaltempsFrer Comment dire à un ami d'enfance qu'on a plus rien à lui dire ?
J'ai un vieil ami en tout cas c'était un ami depuis le collège. Avec les années qui passent je vois bien qu'on a évolué différemment. On se voit pas souvent mais il parle toujours des même trucs, les mêmes vieilles histoires sans intérêt. Bref au fil du temps j'ai de moins en moins envie de le voir.
Peut-être que je serai comtent de le croiser à l'occasion mais rien que l'idée d'aller boire un verre avec lui ça me déplait maintenant.
Je trouve des excuses de plus en plus souvent dernièrement et je ne l'appelle jamais mais il continue à me proposer. Comment faire ?
submitted by GpaltempsFrer to TropPeurDeDemander [link] [comments]
Peut-être que je serai comtent de le croiser à l'occasion mais rien que l'idée d'aller boire un verre avec lui ça me déplait maintenant.
Je trouve des excuses de plus en plus souvent dernièrement et je ne l'appelle jamais mais il continue à me proposer. Comment faire ?
2023.06.06 13:00 SparklingMaple Si on s'aimait encore Semaine 5 et 6
Si on s'aimait encore Semaine 5 et 6
Nous sommes à 3 épisodes de la fin de cette saison
Nathalie et Pierre: j'adore leur évolution, le fait que les deux ont abordé Si on s'aimait encore avec beaucoup d'ouverture. Ils ont cheminé d'une belle manière et se sont respecté. C'est beau de voir un vieux couple comme eux s'aimer encore.
Janie et Lee: ils ont encore beaucoup de travail à faire pour que leur couple dure. Lee a tenté de s'ouvrir malgré ses carences et ses blessures d'enfance. J'aimerais ça les revoir dans une prochaine saison s'il y avait un autre épisode de retrouvailles pour voir s'ils seront encore ensemble. Ce n'est pas une certitude à mon avis.
Emmanuelle et Jérémie : je suis perplexe. On voit qu'ils ont tiré des acquis de Si on s'aimait encore, mais pour eux aussi le travail n'est pas terminé. Emmanuelle semble s'être adoucie un peu dans ses commentaires envers Jérémie. Lui semble prendre davantage son envol vers son autonomie parentale. Si la coach familiale reste dans leur vie après les tournages, ça pourrait leur donner une chance de durer et d'avoir du soutien avec l'arrivée du prochain bébé et les défis que ça va amener à nouveau dans leur organisation familiale.
Gilles et Alexandre: à nouveau, mon couple chouchou de cette saison pour leur respect entre eux. J'apprécie la démarche qu'ils ont eu avec Louise autant en individuel qu'en couple. Leurs enjeux de temps de qualité, de mettre leurs limites, même celui d'affection en public pour un couple homosexuel, ça me semble des quêtes proches de la réalité de plusieurs couples qui vont regarder l'émission (plus proche qu'un conjoint carencé comme Lee ou qu'une famille reconstituée de 5-6 enfants comme Emmanuelle). Gilles s'affirme mieux, Alexandre priorise davantage sa famille et son couple, je pense qu'ils ont les bases pour continuer ensemble pour plusieurs années et que l'émission va les avoir rapproché émotivement.
Avez-vous aimé cette formule et cette saison de Si on s'aimait encore?
submitted by SparklingMaple to bisbille [link] [comments]
Nous sommes à 3 épisodes de la fin de cette saison
Nathalie et Pierre: j'adore leur évolution, le fait que les deux ont abordé Si on s'aimait encore avec beaucoup d'ouverture. Ils ont cheminé d'une belle manière et se sont respecté. C'est beau de voir un vieux couple comme eux s'aimer encore.
Janie et Lee: ils ont encore beaucoup de travail à faire pour que leur couple dure. Lee a tenté de s'ouvrir malgré ses carences et ses blessures d'enfance. J'aimerais ça les revoir dans une prochaine saison s'il y avait un autre épisode de retrouvailles pour voir s'ils seront encore ensemble. Ce n'est pas une certitude à mon avis.
Emmanuelle et Jérémie : je suis perplexe. On voit qu'ils ont tiré des acquis de Si on s'aimait encore, mais pour eux aussi le travail n'est pas terminé. Emmanuelle semble s'être adoucie un peu dans ses commentaires envers Jérémie. Lui semble prendre davantage son envol vers son autonomie parentale. Si la coach familiale reste dans leur vie après les tournages, ça pourrait leur donner une chance de durer et d'avoir du soutien avec l'arrivée du prochain bébé et les défis que ça va amener à nouveau dans leur organisation familiale.
Gilles et Alexandre: à nouveau, mon couple chouchou de cette saison pour leur respect entre eux. J'apprécie la démarche qu'ils ont eu avec Louise autant en individuel qu'en couple. Leurs enjeux de temps de qualité, de mettre leurs limites, même celui d'affection en public pour un couple homosexuel, ça me semble des quêtes proches de la réalité de plusieurs couples qui vont regarder l'émission (plus proche qu'un conjoint carencé comme Lee ou qu'une famille reconstituée de 5-6 enfants comme Emmanuelle). Gilles s'affirme mieux, Alexandre priorise davantage sa famille et son couple, je pense qu'ils ont les bases pour continuer ensemble pour plusieurs années et que l'émission va les avoir rapproché émotivement.
Avez-vous aimé cette formule et cette saison de Si on s'aimait encore?
2023.06.06 12:55 False__Cockroach [HELP] looking for terminology, more info in post
I have this poem I need to have prepared for an oral exam coming up. It’s not certain I’ll have this text, but it’s possible.
Anyway, I was going through it and noticed repeating diction in a mirrosandwich form, but I don’t know if there’s a proper term for this.
So is there a proper way to describe this device? Or how would I incorporate this into an oral analysis?
submitted by False__Cockroach to Poetry [link] [comments]
Anyway, I was going through it and noticed repeating diction in a mirrosandwich form, but I don’t know if there’s a proper term for this.
So is there a proper way to describe this device? Or how would I incorporate this into an oral analysis?
2023.06.06 12:54 StringfellowHawkes Her Card, A story from an old Lodo, CO vet
I pulled her card from my lockbox today. I couldn’t bring myself to remove it from its wrapping though. I’ll explain the card in a little while. Even in just that briefest of moments though, the tears became too thick. I so wanted to see her name. Instead I decided to only go back to the memories. They bring enough tears. So I put the card back but need to tell my story of that memory. So thank you for your time in letting me indulge dear Reader. I know your time is precious and I am loquacious of a sort.
The place I used to work at a long, long time ago, Croc’s, was an odd duck. It was a Transformer of sorts. During the day and early evening it was a damn good Mexican restaurant. One of the best in town. Lunch was insane. Dinner was a respite. But on Friday, Saturdays, some Thursdays, and almost every holiday eve, it was… I don’t even have words. Nothing like what went on in those walls had been seen in Denver at the time. We had lines around blocks. The plural is not a mistake. On those nights, Croc’s was THE place to be in Denver. The owners got there before everyone else and had hit a jackpot with the place. The Rockies were starting over at Mile High and moving to LoDo soon. LoDo was booming and we were in the middle of it partying like no tomorrow every night.
But this isn’t about that amazing place, that’s for another day. Nope. This is about her, her son and I. Or rather, about loss and memories. But it all started at Croc’s and you needed to know what a breath of a moment in time we shared there. Not on one of those crazy nights but one lazy Sunday when we were pretty slow.
I mentioned the restaurant was an odd duck. See, it was designed so that from breakfast through dinner and into very early evening, it was a purposeful, full-fledged, extremely popular, and well reviewed dining establishment. But after that, it was designed so we could remove every table, chair, stool and booth. We essentially turned the whole restaurant into a giant dance floor with a bar that spanned half the distance of the long wall topped with massive tequila and booze pyramids. The wells were at either end with a plant potter behind them for storage. It was split level(ish) with a few VIP areas squirreled away. State of the art DJ booth on the south end of the bar. Oh and did I mention we had a 28 foot replica of a Nile croc suspended from the roof named “Hal”.
The owners were a group of friends who had grown up in the business. One of them was from the family that started Senior Frogs and the like down in Mexico. They had all met and worked at some of the hottest places in the state and been to some of the craziest places around the Americas. So when I say no one had seen anything like it, they hadn’t. We had a person that would blow tequila from a custom bong into a partier's mouth from 30 feet away. Our DJ’s were the best in town. We poached the absolute best in talent from every bar in a 4000 mile radius. That movie “Cocktail”? Yeah, that was this place on steroids. Hell, beside myself and 1 or 2 other guys, our security eventually turned into off duty SWAT cops. All these places around Denver and, hell, around the country you see now? Yeah these guys started it right there in LoDo.
It was the paper and crayons we would put on every table though where my memory begins.
There had been other places that had done what we did with the butcher block paper. It went on every table with crayons. It wasn’t the most innovative thing there but it was fun and the patrons enjoyed it. Many great artists out there! And of course the kids loved it. A lot of the folks who lived around there would bring their kids with them for lunch or dinner. I worked a lot of Sunday day shifts because a) everyone was hung over and never wanted to work and b) it was usually a nice bit of quiet after two nights that would make Caligula jealous. Plus the people who did come in were usually pretty cool and just out for a good meal. It was pretty chill after all that joyous chaos.
My section was usually the front lifted area just in front of the potters and a few tables in the middle. I was splitting with the other server that day since it was more dead than usual. A beautiful Colorado day back then. Blue sky with puffy clouds. Perfect temperature with no wind so the front doors to the small little patio were open. You could smell the flowers from across the street. The other server let me know she had sat a couple of people at one of my four tops. Sounded good so I headed out to say hello.
It was customary for us to write our name on the paper when we showed up. It was hokie but everyone loved it. It was our way of saying welcome and have fun! Some servers could do it upside down but I could never get the hang of that.
I headed down the bar toward the front, preoccupied with getting my marker out for the intro. I remember coming around the corner of the potter and just kind of coming to a juddering stop at the top step, tripping and almost falling on my face. Luckily she was a little preoccupied with her son and getting him situated so she missed seeing me make a gobsmacked fool out of myself.
I luckily regained what little balance I could alongside some composure quick enough to walk up and say hi. She said hi and then kind of waited. “Oh yeah dumbass” I said to myself as I told her, or rather flubbed, my name as I wrote it in the corner so they could read it right side up. She giggled a little bit as most people did with my nickname at the time. I hadn’t noticed but her son had been waiting the whole time for that moment. He grabbed his crayon and wrote his name and her name in front of them. “That’s a good name isn’t it?” I asked him. I told him it was the same as mine but the longer version. He was a little surprised by this as I went by “Scooter” back then. It took a second but he quickly realized it was a nickname. He had signed the long version of our name and said that’s what he liked. Right on man, you got it. Damn smart kid. You can tell, ya know?
After that briefest of moments, I shook myself a little and introduced myself for, I think the fourth time now. She tells me her name but it is instantly gone. Not only because of the effect this moment is having on me, but just because I am bad with names on the first go around. I don’t think we heard what either was saying anyway. Our eyes were locked and in that moment, it was all that mattered somehow. I can remember how deeply they shined. Her hair was a little damp and unkempt like someone in a hurry but has that respect for herself. Dark like her eyes but shining from the light outside. A simple blue/light purple and white striped shirt. Slightly damp around the shoulders. Worn jeans. Not the designer type but jeans aged with a good strong life. Blue canvas deck shoes with the white souls if I remember that part right. Maybe black canvas. I saw all this without ever breaking her gaze.
It was as if in the same moment we both realized we were in the same place together but not there alone. A moment later we both found ourselves apologizing for talking over the other. Sheepishly, like teens on their first date. Giggling a bit. Not knowing what was happening but knowing that something most definitely was. I apologized for the awkwardness and I think I cracked a joke or something but neither of us knew what to do. There was a calm panic and, I dare to say, a longing that was unknown?
It was her son who brought us both back to reality. He had asked if we had Coke or Pepsi. I shook myself internally again and told him we had Coke but could find some Pepsi if he really wanted it. Luckily he was not a Pepsi kid. I also told him that, yes, I would be happy to add a cherry to it. This time though when I met his eyes, I looked at myself when I was that age, as I answered that question. I hadn’t noticed it. Like a mirror as they say. Dark brown hair full of cowlicks. Round face with a big smile. Getting that cherry meant the world to him. I remembered that same feeling again through him. It was like looking at a version of myself I only saw in pictures.
At this very second in time I remember being terrified. Not “scared” terrified. It was more like, holy shite is this happening? What is going on? I wanted to turn and run and hide but somehow regained what little composure was left in that split second. I turned back to her and saw that she had just seen what I had seen. I could see wonder, joy, confusion, happiness, peace, thrill, fear and hope that I am sure were being reflected in my own eyes. We both needed a few minutes. We each could see it. It was overwhelming. Again, not a bad overwhelming but one of those moments where you need to put your hands on your knees and take some big, deep breaths.
The whole 3 or 4 minutes were surreal. And I will never forget them. I will fight as hard as I can to hold onto the others I have of both of them.
Somehow I managed to Charlie Chaplin myself away to get their drink order. I believe hers was a Sprite with a lemon. Normally I would go right around the corner of the plant potter and get the sodas from the guns there. Instead I went all the way to the back station. I needed to breathe. It seemed like an hour but I headed back. By this time the son was going to town. He had talent and it showed. It seemed like we had regained ourselves somewhat but the whole meal was kind of like an episode out of a teen comedy. We giggled, laughed, blushed, and did all the other things you would expect to see from two teenagers who discover they like each other. It wasn’t like I was trying to stay with them, or they tried to keep me there. It just kind of happened. I’d start to go away and she would ask me back for something simple. I would bring something I had forgotten in case they needed it. The whole meal went that way.
When they were done and ready to go, I was dreading it. Should I ask her out? She had mentioned she was single. It felt like I should ask her out. Like I said, the whole visit was surreal. There was no ring or even a suntan line of one (Don’t judge me, it was a different time). I wasn’t seeing anyone either. We seemed to get along amazingly, both her and her son. Even my fellow server noticed and was egging me on. It was obvious. Doing something like that with a client back then happened. Not usually in the first 30 seconds but you never know. I made up my mind to walk them out as I had no other tables and see what happened. I took the check to the table. She was packing her bag. I had gotten a refill for his togo cup and handed it to him. He said thank you and said he drew something for me. They had carefully torn it from the paper and he handed it to me. It was the three of us holding hands. How I held the tears then I do not know. I was a different person there at that precise point in time. At this moment those tears are here though.
I bent down to his level and thanked him sincerely. He said he was glad I liked it and he hugged me. I heard her try to stifle her gasp. Thank any or no gods or whoever for him. He let go, grabbed his Mom’s hand and said he was ready to go. As I stood up I could see tears welling in her eyes. He hadn’t done that to another man in, what she said, was a very long time she would tell me in a quiet voice as we started to walk toward the door. That was it. I didn’t know what to do. I hadn’t even noticed that when we got to the big double doors, he had grabbed my hand. It just was there.
By this time I do not think either of us really knew what to do or what was going on. I mean, this was an impromptu outing to a place her son had liked because of the paper. It was a cheap and good lunch and then off to wherever for them and another table for me while I rolled silverware in the back or stocked the empty quicks from the previous night. But it seemed like it had been years together but only moments, if that makes sense? I certainly did not know what to do at this point. I think I mumbled what a delight it was to be able to spend time with them and I hoped they had enjoyed themselves or something like that. I honestly could not tell you. By this time she had regained herself somewhat. That girlishness turned into an elegance, beauty and strength that I had not seen before. But those same feelings exchanged in that momentary glance were still there. As was still a bit of moisture along the bottom of her eyes. We made a bit of small talk till he got a bit antsy and wanted to head off.
As we said our goodbyes that day, almost at the same time, we asked our questions. I asked if she would like to come by again soon with her son. His birthday was coming up I think and I could get the guys in back to make him something special. At least I think that was it. Her’s was if it would be ok if they came back soon. You know because the little guy liked drawing and the food. More childish giggling and laughing. And before she left she gave me her card and said to call if I was going to be working again on a Sunday or just whenever. As they walked together, hand in hand down and around the corner, I just stared at them and then the card over and over.
That very card I put back in a safe place tonight.
She was a designer as it turned out. I didn’t pry into her past as it sounded like it wasn’t all that great at times. She came by the restaurant a few more times after that. I then called once or twice to say hi and how they were doing and to let her know to come by. Eventually she asked me out. We spent some time together and it started to get a little more serious. She was a few years older but not by much. She was driven and forthright. Quick witted and compassionate. And such a good Mom with a massive heart. I was young then, somewhat good looking, fairly well paid and worked at the hottest spot in the state. And I had this woman I couldn’t get out of my head. Even my coworkers knew and could see what was going on whenever we were together. Either just the two of us or all three of us. Walking on clouds was an apt statement. At this point I want to point out that while I am no saint whatsoever, I do consider myself a decent person. At least I was back then and for the most part today. Things have changed as they always do but I digress.
Eventually the moment came. The serious date. She had a small but fantastic apartment downtown and wanted to make me dinner for once. I don’t think she was done asking before I said yes. We set a date for later that week. I remember it was a Saturday because me taking a night off from that place, with all its amazing moments each night to the amount of money you walked out with each night to leaving one of the other bouncers with one of the other guys he wasn’t used to, was a pretty big deal. Had to call in favors but everyone just said go. No one there batted an eye. They all seemed to know what a big deal this was somehow.
We set it for a little later in the evening so I could get things in proper working fashion up front of the house and then head over. Any of you who have worked in a restaurant know that smell you get. Kind of need to have worked in that environment to know I guess. So that night, I didn’t have time to head home then come back. So I had a change of clothes and a vanity bag so I could clean up in the back. Wouldn’t be the first time I got sprayed down by the dishwasher but probably a first for this reason. Cleaned up pretty well, freshly shaved and quaffed, walking so far above Cloud 9 I lost track of which one I was on. Headed out to put the work kit and bag in the truck. On the way out a few who knew what had been going on smiled or waved.
And off I went. I was a little late but she said she had expected it given the night of the week. Back then, downtown Denver was different. Colorado was different. I guess everywhere was different back then. But in this instance, I mean in an architectural way. You didn’t have the towers all around LoDo as you do now. From some rooftops you could still watch a sunset over the mountains. Say what you will, even I have to admit that a purple and orange sunset over the mountains is quite possibly the most beautiful natural thing I have seen. It is immense but oh so fleeting. Just like our lives I guess. You could still hear birds and bugs over cars at times. I wouldn’t say it was peaceful but it was at least calm?
She was lucky as her apartment, though smallish, came with a hidden bonus. Her window allowed her to access the roof on the next building. A part of it anyway. But this little slice of hidden wonder allowed a view down Market Street, across Spear, over Auraria and then the mountain view. It was stunning. Like the apartment, the space was just cozy enough for two to enjoy a little rooftop barbeque and dining. She gave me the quick tour and we poured some wine. She was going through the menu as we “headed outside”. The door was a small little window. I remember scratching my head and thinking I may not fit out there. She handled it with the grace of a ballerina and said I could do it. It took a minute or two but I contorted my clumsy self outside. And she was right. It was spectacular.
Not just the view but what she had done with her little corner of peace. She had talked with the building owner who agreed that she could use this space as he didn't even know about it. It was like something out of a commercial today. A nice little seating couch type niche. Well built trellis with some small Christmas lights for effect. A little brick grilling area with a hibachi going. I can still smell it. The table with candles and dinnerware. Decking. I was taken aback. The way it was situated insulated her from the sounds down below. You could hear them but it was almost like distant white noise. It was just peaceful. I remember remarking about this. She said she discovered it by accident when her son thought it might be a good play area.
Dinner was wonderful. The night went on. There wasn’t a sense of time. Just us there in that little part of the universe that was only hers. To this day I do not think I felt that safe before anywhere nor since. Someone was letting me into one of their most sacred spots. Literally and figuratively. I felt privileged. Almost as though I was treading somewhere I shouldn’t be. I think that thought was my downfall however. Don’t worry dear Reader, you will understand all that very soon. We watched that sunset. It was perfect. The right contrast of colors. Just the right amount of clouds to change those colors ever so slightly. A reminder of how something can change for the simplest of reasons.
As night grew darker it started to get cold. The goosebumps we were feeling on each other's skin holding hands and looking at the stars weren’t just from feelings. It was getting cool so we moved inside. After safely dousing the grill and making sure the coals were in their proper place, we cleaned up. Since it was easier, I stayed outside and handed them into the house to her. We figured it would be safer for the dishes. Giggled some more as we came to realize more and more things about each other at the same time. Finally the outside was clear. I stood outside for another minute to take in what was happening. I think that is then that little bit of fear weeded its way in without my realizing it. This was as close to perfect as I could ever dream I thought.
After squeezing back inside, assisted again but ok with that, we cleaned up the dishes and opened another bottle of wine. The inside was just as cozy. At some point she had lit some more candles and had some soft music going. Light jazz if I remember. Not loud at all. Again, there, just outside the periphery. Sitting on the couch I can feel her sitting next to me. We are close. Two people holding each other wanting to believe but not sure if this is real. There was almost a vibration. The constant goosebumps were not because of the cold anymore. Once we were both comfortable and we just talked. For hours and hours. There were the intimate moments but nothing scandalous. A tenuous kiss from one to the other.
We talked about what two people talk about who truly want to know the other. I believe we asked as many honest questions of ourselves as we did of the other. We really, truly, wholly wanted to know each other. And that is what we did. The more we talked the more comfortable we felt. Each of us had our scars that were not easily revealed. Nor did we reveal all of them that night and guarded them well. But we each wanted to know if the other was someone we could trust with those deepest places that we all hide in the darkest parts of our soul.
We talked a little about her son’s father but not in depth. It was easy to see that was one of the scars. We talked about her son. Why she was so astonished that first day. My heart wrenches this very moment dear Reader upon remembering that. Her hopes for him. His likes and his dislikes. Some of the stories parents tell others to embarrass their children later in life. We talked about what futures there could be not for us but for him and his world. He really was an amazing kid and I am sure has grown up to be someone she can be proud of. Time did not exist that night. Feelings and thoughts were exchanged that did not need to be said. We just knew each other that night.
We never did finish the second bottle if memory serves, we talked, laughed and sat together in peaceful comfort and gave no care about anything else. But tomorrow was coming as it always does and we had to leave each other. I remember the closeness as we held each other. The pressure of two bodies at that singular moment in time. That one instant that feels as though it could last through infinity. When two become one and feel the safety, love, compassion, trust and sameness that is rarely, if ever experienced.
Pardon me dear Reader but must ask a moment to compose myself. We are getting close to the end of my tale so also ask for just a bit more of your time. I know how so very precious it is. Thank you for allowing me to continue.
I do not know how long we held each other. To this day I wish it had been so much longer however. I do remember leaving. Working where I did, I was sadly but actively very familiar with many different levels and types of inebriation. That feeling that morning however was something that surpassed all that I had experienced in my life. I had never felt like this. I knew that the sun was starting to come up as I parked my car. I knew that I got through the door, downstairs and then fell asleep. I wasn’t drunk. It was pure. A pure love, happiness, joy and trust I had never felt from someone else. This feeling was so powerful it had knocked me for a loop that I just was not ready for.
I awoke later that day, thankful I didn’t have to work. It was late in the afternoon and I felt like I had been hit by a bus but didn’t care. I believe that the night before we both had excised many things that we had held inside for so long. I could (and can) still remember the whole night if not the words. I felt like one does after you give everything physically possible to something and have nothing left to give. But it felt right. Regardless of the ending, I do believe that, even though brief, that night, two people who had needed to find each other did. I think they needed to know that there was at least one person who understood, even if they hadn’t needed to actually say anything.
Now dear Reader I must ask you to remember that part about fear. Given my early life and life up to that point and to this day, I do find it very hard to trust. So this was something I had to confront. And so I started to. Instead of seeing what she saw in me, I saw the things I thought were ugly. I got scared that those scars would be peeled away and she would be repulsed. And these thoughts and fears grew. We still saw each other and talked for a while after that night. But my fear took over quickly. Before I knew it I had driven her away. There was no maliciousness about it. The thoughts that had ruled my life for so long before her and then after her, to this day, always got to the same thing. If you let her in, she will leave because of who you are. It was idiotic but it was ingrained at this point. I eventually told her I didn’t think it was going to work out. The truth was that I was scared. Scared to let her in. I hated myself for not being honest with her. She would have understood. Probably more than any other.
After that, I went on with my life as a young person does in that atmosphere. I saw her one time after that final talk. She waved as she and her son sat in a section away from mine. I waved back and remembered going out back and beating the hell out of our cooler there. I was so mad at myself then. While the anger passed as life threw one thing at me after another as it does until I find myself here today writing this, the pain of losing her has never healed. Nor do I want it to. That pain also brings memories that I so rarely experience anymore. I buried it for a long, long, long time but recently I find myself thinking about her and her son more and more. What would have been?
For you see dear Reader, that moment was my perfect chance. Not long ago in my life I was diagnosed with cancer. I eventually beat it but it has long since ruined my life. But that is not why I tell this tale. I ask for no sympathy. My life is where I am supposed to be. I have come to peace with that. To an extent I guess anyway. The reason it was my perfect chance is this. I was also diagnosed with a genetic defect which essentially makes me a cancer producer with no natural way to fight it. My mothers father died of colon and pancreatic cancer. My Mother has beaten 5 different bouts of cancer. I have been tested and confirmed. So if I had had a child, I would more than likely have passed that to them. After listening to what my mother watched her father go through. After watching my own Mother fight this monster 5 times and win each time. After all that I was horrified to learn that I could have passed this monster to someone I would have loved with all my heart.
I never married and never had a child. For most of my life I regretted that most of all to the point of shame. I am the last person in my familial lineage that will ever carry my name. My line dies with me. For the longest time that has been a great burden. However, after the geneticist confirmed me and a great deal of internal contemplation, with the aid of hindsight, part of me is glad that I never had a wife and child who would have to go through the horrors I have heard about, watched and gone through first hand and personally. That at least brings me a modicum of inner peace. Do not be fooled ever though. This monster is evil. It takes everything from all but the luckiest.
And I had my moment of perfect chance. Even though I did not know it at the time, I had an opportunity to spend the rest of my life with two someones who I truly believe to this day, loved me. Even if for so very briefly. I gave up the chance to be able to be a husband and care for someone I believe I loved and loved me. I had a chance to be the father I wanted to be without passing on my monster. To see a child grow into their best self. I get angry at times that I did this. Not necessarily my own selfish needs. I am also mad that this person trusted me and I couldn’t do the same in the end. That I let a child down who for his own reasons let me in when he shut others out. That we could have been the family we could have been. And I ran because I was scared. I can never forgive myself for doing that to them. This may sound selfish and perhaps it is but it is my history.
And now dear Reader we come to the end of my tale. Where it all began.
Her card.
I think you will understand why I put it away instead of taking it out after this. I mentioned that she was a designer. Her card is exquisite. I don’t need to see it to describe it. There is a silver cord ribbon wrapped around a waxed paper tied in a bow. It sparkles silver but is brittle after all the years. I can slide the card out carefully but don’t want to take a chance of damaging it. My hands aren’t the best anymore. The writing on the card is done with a most excellent penmanship in purple over white with black. The backing is white with the black used as border highlighting with purple as the border and main color. There is a bit of sparkle in one of the purples but not a garish amount. Just enough to catch the eye. The back is similar with details of her work at the time as well as some contact information. I don’t know if she did this on all of them, but there was a scent of her perfume that accompanied it for a while. It, like much else, has faded.
We all have a place to keep our most precious items. This one rarely leaves that place for me.
So in the really bad times dear Reader, I try to look at that card. I say try because it is very painful to try to do so. Today was one of those days and I wanted to share it. In the end I couldn’t get past the tears to look at it so returned it to its safety. Not really because of the pain. Believe me, the pain is there in vast amounts. But because of that first moment. I needed to remember what that feeling was like. I needed to remember what it is to look in another's eyes and see the whole universe and all its infinite possibilities. Some regrets, regardless of time, will always follow you. Be honest about that with yourself dear Reader. Today I needed to remember her and him. I needed that acceptance. That peace. That joy, That trust. That love.
This time however I needed to commit this to our history so that perhaps at least one other will read it and maybe it will impact somehow. This is not meant to be a moralistic tale. It is just a tale of love lost. A life that could have been different. I hope, dear Reader, that your life is filled with wonder and love. Do not miss a single chance in your life because of fear. Be cautious but be open. Your world is massive but also miniscule. The chances don’t happen often anymore so grab them and hold onto them when you can. Try to think of all possibilities and look through others' eyes. But most importantly. If you do find your perfect moment, do not let it go dear Reader. It may never come again.
That is the end of my tale. I thank you so much dear Reader. As I have said many times, your time is precious and I have taken enough. Safe journeys to you my friend.
submitted by StringfellowHawkes to KitchenConfidential [link] [comments]
The place I used to work at a long, long time ago, Croc’s, was an odd duck. It was a Transformer of sorts. During the day and early evening it was a damn good Mexican restaurant. One of the best in town. Lunch was insane. Dinner was a respite. But on Friday, Saturdays, some Thursdays, and almost every holiday eve, it was… I don’t even have words. Nothing like what went on in those walls had been seen in Denver at the time. We had lines around blocks. The plural is not a mistake. On those nights, Croc’s was THE place to be in Denver. The owners got there before everyone else and had hit a jackpot with the place. The Rockies were starting over at Mile High and moving to LoDo soon. LoDo was booming and we were in the middle of it partying like no tomorrow every night.
But this isn’t about that amazing place, that’s for another day. Nope. This is about her, her son and I. Or rather, about loss and memories. But it all started at Croc’s and you needed to know what a breath of a moment in time we shared there. Not on one of those crazy nights but one lazy Sunday when we were pretty slow.
I mentioned the restaurant was an odd duck. See, it was designed so that from breakfast through dinner and into very early evening, it was a purposeful, full-fledged, extremely popular, and well reviewed dining establishment. But after that, it was designed so we could remove every table, chair, stool and booth. We essentially turned the whole restaurant into a giant dance floor with a bar that spanned half the distance of the long wall topped with massive tequila and booze pyramids. The wells were at either end with a plant potter behind them for storage. It was split level(ish) with a few VIP areas squirreled away. State of the art DJ booth on the south end of the bar. Oh and did I mention we had a 28 foot replica of a Nile croc suspended from the roof named “Hal”.
The owners were a group of friends who had grown up in the business. One of them was from the family that started Senior Frogs and the like down in Mexico. They had all met and worked at some of the hottest places in the state and been to some of the craziest places around the Americas. So when I say no one had seen anything like it, they hadn’t. We had a person that would blow tequila from a custom bong into a partier's mouth from 30 feet away. Our DJ’s were the best in town. We poached the absolute best in talent from every bar in a 4000 mile radius. That movie “Cocktail”? Yeah, that was this place on steroids. Hell, beside myself and 1 or 2 other guys, our security eventually turned into off duty SWAT cops. All these places around Denver and, hell, around the country you see now? Yeah these guys started it right there in LoDo.
It was the paper and crayons we would put on every table though where my memory begins.
There had been other places that had done what we did with the butcher block paper. It went on every table with crayons. It wasn’t the most innovative thing there but it was fun and the patrons enjoyed it. Many great artists out there! And of course the kids loved it. A lot of the folks who lived around there would bring their kids with them for lunch or dinner. I worked a lot of Sunday day shifts because a) everyone was hung over and never wanted to work and b) it was usually a nice bit of quiet after two nights that would make Caligula jealous. Plus the people who did come in were usually pretty cool and just out for a good meal. It was pretty chill after all that joyous chaos.
My section was usually the front lifted area just in front of the potters and a few tables in the middle. I was splitting with the other server that day since it was more dead than usual. A beautiful Colorado day back then. Blue sky with puffy clouds. Perfect temperature with no wind so the front doors to the small little patio were open. You could smell the flowers from across the street. The other server let me know she had sat a couple of people at one of my four tops. Sounded good so I headed out to say hello.
It was customary for us to write our name on the paper when we showed up. It was hokie but everyone loved it. It was our way of saying welcome and have fun! Some servers could do it upside down but I could never get the hang of that.
I headed down the bar toward the front, preoccupied with getting my marker out for the intro. I remember coming around the corner of the potter and just kind of coming to a juddering stop at the top step, tripping and almost falling on my face. Luckily she was a little preoccupied with her son and getting him situated so she missed seeing me make a gobsmacked fool out of myself.
I luckily regained what little balance I could alongside some composure quick enough to walk up and say hi. She said hi and then kind of waited. “Oh yeah dumbass” I said to myself as I told her, or rather flubbed, my name as I wrote it in the corner so they could read it right side up. She giggled a little bit as most people did with my nickname at the time. I hadn’t noticed but her son had been waiting the whole time for that moment. He grabbed his crayon and wrote his name and her name in front of them. “That’s a good name isn’t it?” I asked him. I told him it was the same as mine but the longer version. He was a little surprised by this as I went by “Scooter” back then. It took a second but he quickly realized it was a nickname. He had signed the long version of our name and said that’s what he liked. Right on man, you got it. Damn smart kid. You can tell, ya know?
After that briefest of moments, I shook myself a little and introduced myself for, I think the fourth time now. She tells me her name but it is instantly gone. Not only because of the effect this moment is having on me, but just because I am bad with names on the first go around. I don’t think we heard what either was saying anyway. Our eyes were locked and in that moment, it was all that mattered somehow. I can remember how deeply they shined. Her hair was a little damp and unkempt like someone in a hurry but has that respect for herself. Dark like her eyes but shining from the light outside. A simple blue/light purple and white striped shirt. Slightly damp around the shoulders. Worn jeans. Not the designer type but jeans aged with a good strong life. Blue canvas deck shoes with the white souls if I remember that part right. Maybe black canvas. I saw all this without ever breaking her gaze.
It was as if in the same moment we both realized we were in the same place together but not there alone. A moment later we both found ourselves apologizing for talking over the other. Sheepishly, like teens on their first date. Giggling a bit. Not knowing what was happening but knowing that something most definitely was. I apologized for the awkwardness and I think I cracked a joke or something but neither of us knew what to do. There was a calm panic and, I dare to say, a longing that was unknown?
It was her son who brought us both back to reality. He had asked if we had Coke or Pepsi. I shook myself internally again and told him we had Coke but could find some Pepsi if he really wanted it. Luckily he was not a Pepsi kid. I also told him that, yes, I would be happy to add a cherry to it. This time though when I met his eyes, I looked at myself when I was that age, as I answered that question. I hadn’t noticed it. Like a mirror as they say. Dark brown hair full of cowlicks. Round face with a big smile. Getting that cherry meant the world to him. I remembered that same feeling again through him. It was like looking at a version of myself I only saw in pictures.
At this very second in time I remember being terrified. Not “scared” terrified. It was more like, holy shite is this happening? What is going on? I wanted to turn and run and hide but somehow regained what little composure was left in that split second. I turned back to her and saw that she had just seen what I had seen. I could see wonder, joy, confusion, happiness, peace, thrill, fear and hope that I am sure were being reflected in my own eyes. We both needed a few minutes. We each could see it. It was overwhelming. Again, not a bad overwhelming but one of those moments where you need to put your hands on your knees and take some big, deep breaths.
The whole 3 or 4 minutes were surreal. And I will never forget them. I will fight as hard as I can to hold onto the others I have of both of them.
Somehow I managed to Charlie Chaplin myself away to get their drink order. I believe hers was a Sprite with a lemon. Normally I would go right around the corner of the plant potter and get the sodas from the guns there. Instead I went all the way to the back station. I needed to breathe. It seemed like an hour but I headed back. By this time the son was going to town. He had talent and it showed. It seemed like we had regained ourselves somewhat but the whole meal was kind of like an episode out of a teen comedy. We giggled, laughed, blushed, and did all the other things you would expect to see from two teenagers who discover they like each other. It wasn’t like I was trying to stay with them, or they tried to keep me there. It just kind of happened. I’d start to go away and she would ask me back for something simple. I would bring something I had forgotten in case they needed it. The whole meal went that way.
When they were done and ready to go, I was dreading it. Should I ask her out? She had mentioned she was single. It felt like I should ask her out. Like I said, the whole visit was surreal. There was no ring or even a suntan line of one (Don’t judge me, it was a different time). I wasn’t seeing anyone either. We seemed to get along amazingly, both her and her son. Even my fellow server noticed and was egging me on. It was obvious. Doing something like that with a client back then happened. Not usually in the first 30 seconds but you never know. I made up my mind to walk them out as I had no other tables and see what happened. I took the check to the table. She was packing her bag. I had gotten a refill for his togo cup and handed it to him. He said thank you and said he drew something for me. They had carefully torn it from the paper and he handed it to me. It was the three of us holding hands. How I held the tears then I do not know. I was a different person there at that precise point in time. At this moment those tears are here though.
I bent down to his level and thanked him sincerely. He said he was glad I liked it and he hugged me. I heard her try to stifle her gasp. Thank any or no gods or whoever for him. He let go, grabbed his Mom’s hand and said he was ready to go. As I stood up I could see tears welling in her eyes. He hadn’t done that to another man in, what she said, was a very long time she would tell me in a quiet voice as we started to walk toward the door. That was it. I didn’t know what to do. I hadn’t even noticed that when we got to the big double doors, he had grabbed my hand. It just was there.
By this time I do not think either of us really knew what to do or what was going on. I mean, this was an impromptu outing to a place her son had liked because of the paper. It was a cheap and good lunch and then off to wherever for them and another table for me while I rolled silverware in the back or stocked the empty quicks from the previous night. But it seemed like it had been years together but only moments, if that makes sense? I certainly did not know what to do at this point. I think I mumbled what a delight it was to be able to spend time with them and I hoped they had enjoyed themselves or something like that. I honestly could not tell you. By this time she had regained herself somewhat. That girlishness turned into an elegance, beauty and strength that I had not seen before. But those same feelings exchanged in that momentary glance were still there. As was still a bit of moisture along the bottom of her eyes. We made a bit of small talk till he got a bit antsy and wanted to head off.
As we said our goodbyes that day, almost at the same time, we asked our questions. I asked if she would like to come by again soon with her son. His birthday was coming up I think and I could get the guys in back to make him something special. At least I think that was it. Her’s was if it would be ok if they came back soon. You know because the little guy liked drawing and the food. More childish giggling and laughing. And before she left she gave me her card and said to call if I was going to be working again on a Sunday or just whenever. As they walked together, hand in hand down and around the corner, I just stared at them and then the card over and over.
That very card I put back in a safe place tonight.
She was a designer as it turned out. I didn’t pry into her past as it sounded like it wasn’t all that great at times. She came by the restaurant a few more times after that. I then called once or twice to say hi and how they were doing and to let her know to come by. Eventually she asked me out. We spent some time together and it started to get a little more serious. She was a few years older but not by much. She was driven and forthright. Quick witted and compassionate. And such a good Mom with a massive heart. I was young then, somewhat good looking, fairly well paid and worked at the hottest spot in the state. And I had this woman I couldn’t get out of my head. Even my coworkers knew and could see what was going on whenever we were together. Either just the two of us or all three of us. Walking on clouds was an apt statement. At this point I want to point out that while I am no saint whatsoever, I do consider myself a decent person. At least I was back then and for the most part today. Things have changed as they always do but I digress.
Eventually the moment came. The serious date. She had a small but fantastic apartment downtown and wanted to make me dinner for once. I don’t think she was done asking before I said yes. We set a date for later that week. I remember it was a Saturday because me taking a night off from that place, with all its amazing moments each night to the amount of money you walked out with each night to leaving one of the other bouncers with one of the other guys he wasn’t used to, was a pretty big deal. Had to call in favors but everyone just said go. No one there batted an eye. They all seemed to know what a big deal this was somehow.
We set it for a little later in the evening so I could get things in proper working fashion up front of the house and then head over. Any of you who have worked in a restaurant know that smell you get. Kind of need to have worked in that environment to know I guess. So that night, I didn’t have time to head home then come back. So I had a change of clothes and a vanity bag so I could clean up in the back. Wouldn’t be the first time I got sprayed down by the dishwasher but probably a first for this reason. Cleaned up pretty well, freshly shaved and quaffed, walking so far above Cloud 9 I lost track of which one I was on. Headed out to put the work kit and bag in the truck. On the way out a few who knew what had been going on smiled or waved.
And off I went. I was a little late but she said she had expected it given the night of the week. Back then, downtown Denver was different. Colorado was different. I guess everywhere was different back then. But in this instance, I mean in an architectural way. You didn’t have the towers all around LoDo as you do now. From some rooftops you could still watch a sunset over the mountains. Say what you will, even I have to admit that a purple and orange sunset over the mountains is quite possibly the most beautiful natural thing I have seen. It is immense but oh so fleeting. Just like our lives I guess. You could still hear birds and bugs over cars at times. I wouldn’t say it was peaceful but it was at least calm?
She was lucky as her apartment, though smallish, came with a hidden bonus. Her window allowed her to access the roof on the next building. A part of it anyway. But this little slice of hidden wonder allowed a view down Market Street, across Spear, over Auraria and then the mountain view. It was stunning. Like the apartment, the space was just cozy enough for two to enjoy a little rooftop barbeque and dining. She gave me the quick tour and we poured some wine. She was going through the menu as we “headed outside”. The door was a small little window. I remember scratching my head and thinking I may not fit out there. She handled it with the grace of a ballerina and said I could do it. It took a minute or two but I contorted my clumsy self outside. And she was right. It was spectacular.
Not just the view but what she had done with her little corner of peace. She had talked with the building owner who agreed that she could use this space as he didn't even know about it. It was like something out of a commercial today. A nice little seating couch type niche. Well built trellis with some small Christmas lights for effect. A little brick grilling area with a hibachi going. I can still smell it. The table with candles and dinnerware. Decking. I was taken aback. The way it was situated insulated her from the sounds down below. You could hear them but it was almost like distant white noise. It was just peaceful. I remember remarking about this. She said she discovered it by accident when her son thought it might be a good play area.
Dinner was wonderful. The night went on. There wasn’t a sense of time. Just us there in that little part of the universe that was only hers. To this day I do not think I felt that safe before anywhere nor since. Someone was letting me into one of their most sacred spots. Literally and figuratively. I felt privileged. Almost as though I was treading somewhere I shouldn’t be. I think that thought was my downfall however. Don’t worry dear Reader, you will understand all that very soon. We watched that sunset. It was perfect. The right contrast of colors. Just the right amount of clouds to change those colors ever so slightly. A reminder of how something can change for the simplest of reasons.
As night grew darker it started to get cold. The goosebumps we were feeling on each other's skin holding hands and looking at the stars weren’t just from feelings. It was getting cool so we moved inside. After safely dousing the grill and making sure the coals were in their proper place, we cleaned up. Since it was easier, I stayed outside and handed them into the house to her. We figured it would be safer for the dishes. Giggled some more as we came to realize more and more things about each other at the same time. Finally the outside was clear. I stood outside for another minute to take in what was happening. I think that is then that little bit of fear weeded its way in without my realizing it. This was as close to perfect as I could ever dream I thought.
After squeezing back inside, assisted again but ok with that, we cleaned up the dishes and opened another bottle of wine. The inside was just as cozy. At some point she had lit some more candles and had some soft music going. Light jazz if I remember. Not loud at all. Again, there, just outside the periphery. Sitting on the couch I can feel her sitting next to me. We are close. Two people holding each other wanting to believe but not sure if this is real. There was almost a vibration. The constant goosebumps were not because of the cold anymore. Once we were both comfortable and we just talked. For hours and hours. There were the intimate moments but nothing scandalous. A tenuous kiss from one to the other.
We talked about what two people talk about who truly want to know the other. I believe we asked as many honest questions of ourselves as we did of the other. We really, truly, wholly wanted to know each other. And that is what we did. The more we talked the more comfortable we felt. Each of us had our scars that were not easily revealed. Nor did we reveal all of them that night and guarded them well. But we each wanted to know if the other was someone we could trust with those deepest places that we all hide in the darkest parts of our soul.
We talked a little about her son’s father but not in depth. It was easy to see that was one of the scars. We talked about her son. Why she was so astonished that first day. My heart wrenches this very moment dear Reader upon remembering that. Her hopes for him. His likes and his dislikes. Some of the stories parents tell others to embarrass their children later in life. We talked about what futures there could be not for us but for him and his world. He really was an amazing kid and I am sure has grown up to be someone she can be proud of. Time did not exist that night. Feelings and thoughts were exchanged that did not need to be said. We just knew each other that night.
We never did finish the second bottle if memory serves, we talked, laughed and sat together in peaceful comfort and gave no care about anything else. But tomorrow was coming as it always does and we had to leave each other. I remember the closeness as we held each other. The pressure of two bodies at that singular moment in time. That one instant that feels as though it could last through infinity. When two become one and feel the safety, love, compassion, trust and sameness that is rarely, if ever experienced.
Pardon me dear Reader but must ask a moment to compose myself. We are getting close to the end of my tale so also ask for just a bit more of your time. I know how so very precious it is. Thank you for allowing me to continue.
I do not know how long we held each other. To this day I wish it had been so much longer however. I do remember leaving. Working where I did, I was sadly but actively very familiar with many different levels and types of inebriation. That feeling that morning however was something that surpassed all that I had experienced in my life. I had never felt like this. I knew that the sun was starting to come up as I parked my car. I knew that I got through the door, downstairs and then fell asleep. I wasn’t drunk. It was pure. A pure love, happiness, joy and trust I had never felt from someone else. This feeling was so powerful it had knocked me for a loop that I just was not ready for.
I awoke later that day, thankful I didn’t have to work. It was late in the afternoon and I felt like I had been hit by a bus but didn’t care. I believe that the night before we both had excised many things that we had held inside for so long. I could (and can) still remember the whole night if not the words. I felt like one does after you give everything physically possible to something and have nothing left to give. But it felt right. Regardless of the ending, I do believe that, even though brief, that night, two people who had needed to find each other did. I think they needed to know that there was at least one person who understood, even if they hadn’t needed to actually say anything.
Now dear Reader I must ask you to remember that part about fear. Given my early life and life up to that point and to this day, I do find it very hard to trust. So this was something I had to confront. And so I started to. Instead of seeing what she saw in me, I saw the things I thought were ugly. I got scared that those scars would be peeled away and she would be repulsed. And these thoughts and fears grew. We still saw each other and talked for a while after that night. But my fear took over quickly. Before I knew it I had driven her away. There was no maliciousness about it. The thoughts that had ruled my life for so long before her and then after her, to this day, always got to the same thing. If you let her in, she will leave because of who you are. It was idiotic but it was ingrained at this point. I eventually told her I didn’t think it was going to work out. The truth was that I was scared. Scared to let her in. I hated myself for not being honest with her. She would have understood. Probably more than any other.
After that, I went on with my life as a young person does in that atmosphere. I saw her one time after that final talk. She waved as she and her son sat in a section away from mine. I waved back and remembered going out back and beating the hell out of our cooler there. I was so mad at myself then. While the anger passed as life threw one thing at me after another as it does until I find myself here today writing this, the pain of losing her has never healed. Nor do I want it to. That pain also brings memories that I so rarely experience anymore. I buried it for a long, long, long time but recently I find myself thinking about her and her son more and more. What would have been?
For you see dear Reader, that moment was my perfect chance. Not long ago in my life I was diagnosed with cancer. I eventually beat it but it has long since ruined my life. But that is not why I tell this tale. I ask for no sympathy. My life is where I am supposed to be. I have come to peace with that. To an extent I guess anyway. The reason it was my perfect chance is this. I was also diagnosed with a genetic defect which essentially makes me a cancer producer with no natural way to fight it. My mothers father died of colon and pancreatic cancer. My Mother has beaten 5 different bouts of cancer. I have been tested and confirmed. So if I had had a child, I would more than likely have passed that to them. After listening to what my mother watched her father go through. After watching my own Mother fight this monster 5 times and win each time. After all that I was horrified to learn that I could have passed this monster to someone I would have loved with all my heart.
I never married and never had a child. For most of my life I regretted that most of all to the point of shame. I am the last person in my familial lineage that will ever carry my name. My line dies with me. For the longest time that has been a great burden. However, after the geneticist confirmed me and a great deal of internal contemplation, with the aid of hindsight, part of me is glad that I never had a wife and child who would have to go through the horrors I have heard about, watched and gone through first hand and personally. That at least brings me a modicum of inner peace. Do not be fooled ever though. This monster is evil. It takes everything from all but the luckiest.
And I had my moment of perfect chance. Even though I did not know it at the time, I had an opportunity to spend the rest of my life with two someones who I truly believe to this day, loved me. Even if for so very briefly. I gave up the chance to be able to be a husband and care for someone I believe I loved and loved me. I had a chance to be the father I wanted to be without passing on my monster. To see a child grow into their best self. I get angry at times that I did this. Not necessarily my own selfish needs. I am also mad that this person trusted me and I couldn’t do the same in the end. That I let a child down who for his own reasons let me in when he shut others out. That we could have been the family we could have been. And I ran because I was scared. I can never forgive myself for doing that to them. This may sound selfish and perhaps it is but it is my history.
And now dear Reader we come to the end of my tale. Where it all began.
Her card.
I think you will understand why I put it away instead of taking it out after this. I mentioned that she was a designer. Her card is exquisite. I don’t need to see it to describe it. There is a silver cord ribbon wrapped around a waxed paper tied in a bow. It sparkles silver but is brittle after all the years. I can slide the card out carefully but don’t want to take a chance of damaging it. My hands aren’t the best anymore. The writing on the card is done with a most excellent penmanship in purple over white with black. The backing is white with the black used as border highlighting with purple as the border and main color. There is a bit of sparkle in one of the purples but not a garish amount. Just enough to catch the eye. The back is similar with details of her work at the time as well as some contact information. I don’t know if she did this on all of them, but there was a scent of her perfume that accompanied it for a while. It, like much else, has faded.
We all have a place to keep our most precious items. This one rarely leaves that place for me.
So in the really bad times dear Reader, I try to look at that card. I say try because it is very painful to try to do so. Today was one of those days and I wanted to share it. In the end I couldn’t get past the tears to look at it so returned it to its safety. Not really because of the pain. Believe me, the pain is there in vast amounts. But because of that first moment. I needed to remember what that feeling was like. I needed to remember what it is to look in another's eyes and see the whole universe and all its infinite possibilities. Some regrets, regardless of time, will always follow you. Be honest about that with yourself dear Reader. Today I needed to remember her and him. I needed that acceptance. That peace. That joy, That trust. That love.
This time however I needed to commit this to our history so that perhaps at least one other will read it and maybe it will impact somehow. This is not meant to be a moralistic tale. It is just a tale of love lost. A life that could have been different. I hope, dear Reader, that your life is filled with wonder and love. Do not miss a single chance in your life because of fear. Be cautious but be open. Your world is massive but also miniscule. The chances don’t happen often anymore so grab them and hold onto them when you can. Try to think of all possibilities and look through others' eyes. But most importantly. If you do find your perfect moment, do not let it go dear Reader. It may never come again.
That is the end of my tale. I thank you so much dear Reader. As I have said many times, your time is precious and I have taken enough. Safe journeys to you my friend.
2023.06.06 11:55 Significant-Use2821 Partagez vos chaînes Twitch préférées de Diablo IV !
Chers membres de la communauté,
Nous sommes ravis de vous présenter un espace dédié au partage de vos chaînes Twitch préférées de Diablo IV ! Si vous êtes un streamer passionné ou si vous avez découvert des streamers talentueux qui méritent d'être mis en avant, c'est l'endroit idéal pour les partager avec notre communauté.
Dans les commentaires de ce post, n'hésitez pas à partager le nom de votre chaîne Twitch si vous êtes un streamer de Diablo IV. Faites-nous savoir quand vous diffusez, quels sont vos horaires habituels et quels aspects de Diablo IV vous aimez mettre en avant. C'est l'occasion de vous présenter, de faire connaître votre contenu et d'inviter d'autres membres de la communauté à vous rejoindre lors de vos sessions de jeu en direct.
De plus, si vous avez découvert des chaînes Twitch intéressantes liées à Diablo IV, partagez-les également ! Mentionnez le nom du streamer, ce que vous appréciez dans ses diffusions et pourquoi vous pensez que d'autres membres de la communauté devraient le suivre. C'est l'occasion de découvrir de nouveaux streamers talentueux et de soutenir notre communauté en ligne.
Rappelez-vous que nous encourageons le respect mutuel et la courtoisie. Lorsque vous partagez une chaîne Twitch, veillez à expliquer brièvement pourquoi vous l'appréciez et à rester constructif dans vos commentaires. Il est important de soutenir et d'encourager nos créateurs de contenu tout en maintenant un environnement positif et bienveillant.
Prenez le temps d'explorer les chaînes Twitch partagées par d'autres membres de la communauté. Suivez les streamers qui vous intéressent, participez à leurs diffusions, interagissez avec eux et profitez d'un contenu Diablo IV de qualité, tout en élargissant votre cercle de joueurs et en créant de nouvelles amitiés.
Nous avons hâte de découvrir vos chaînes Twitch préférées de Diablo IV et de partager des moments de jeu mémorables avec notre communauté en ligne ;)
Votre équipe de modération et BobyGee
submitted by Significant-Use2821 to diablo_IV_France [link] [comments]
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2023.06.06 11:52 CozHeyWhyNot Quel est le problème avec les artisans qui ghostent ?
Bonjour,
J'ai acheté une maison il y a quelques années maintenant. Depuis environ un an, à chaque fois que j'ai eu besoin d'avoir recours à un artisan (réparation diverses, infiltration, etc.), au choix:
-Je n'ai aucune réponse (même après plusieurs tentatives)
-Lorsqu'on me répond une première fois, et que j'ai un premier accord verbal, ça ne donne pas suite (rappel via SMS/téléphone)
-Dans le meilleur des cas, la personne vient, on discute, il m'explique son plan puis repart, avant de me laisser à jamais sans nouvelles
Pour l'un de ces derniers cas, ça a duré 6 mois, je rappelais régulièrement (une fois par semaine environ), parfois je tombais sur la personne qui me disait "ah oui pardon, oui oui je vous l'envoie par mail ce soir" ou "je vous le dépose dans votre boite aux lettres dès que je repasse", etc. Mais rien ne se passait. La dernière fois où je l'ai eu au téléphone, il m'a littéralement dit "Oh je suis désolé, vous avez le droit de me taper. Je vous envoie ça ce soir"...Chose qu'il n'a évidemment pas faite. J'ai fini par mettre un avis Google négatif... qu'il a lui-même liké.
Dernièrement j'ai un dégât des eaux et besoin de faire venir un couvreur: même refrain "oui oui je viens", et rien ne se passe, et dès qu'il pleut je serre les fesses...J'en suis à mon 3e appel ghosté pour ce point là.
Je vous avoue que je ne sais plus quoi faire. Je suis pourtant poli au téléphone, ma maison n'est pas dans un état catastrophique qui pourrait faire peur, je ne pense pas harceler (je fais en général: 1er contact=appel téléphonique, puis relance SMS après quelques jours, puis 2e appel téléphonique environ 1 à 2 semaines après). Il y en a eu une dizaine comme ça... Je ne suis dépanné pour rien, je n'ai pas de proches pour m'aider, sur AlloVoisins aucun n'a le profil pour ça, je suis désarmé... C'est pareil chez vous? Quels conseils vous auriez? J'imagine que c'est parce que ce sont des "petites" tâches et que ça ne les intéresse pas ? Merci d'avance.
submitted by CozHeyWhyNot to AskFrance [link] [comments]
J'ai acheté une maison il y a quelques années maintenant. Depuis environ un an, à chaque fois que j'ai eu besoin d'avoir recours à un artisan (réparation diverses, infiltration, etc.), au choix:
-Je n'ai aucune réponse (même après plusieurs tentatives)
-Lorsqu'on me répond une première fois, et que j'ai un premier accord verbal, ça ne donne pas suite (rappel via SMS/téléphone)
-Dans le meilleur des cas, la personne vient, on discute, il m'explique son plan puis repart, avant de me laisser à jamais sans nouvelles
Pour l'un de ces derniers cas, ça a duré 6 mois, je rappelais régulièrement (une fois par semaine environ), parfois je tombais sur la personne qui me disait "ah oui pardon, oui oui je vous l'envoie par mail ce soir" ou "je vous le dépose dans votre boite aux lettres dès que je repasse", etc. Mais rien ne se passait. La dernière fois où je l'ai eu au téléphone, il m'a littéralement dit "Oh je suis désolé, vous avez le droit de me taper. Je vous envoie ça ce soir"...Chose qu'il n'a évidemment pas faite. J'ai fini par mettre un avis Google négatif... qu'il a lui-même liké.
Dernièrement j'ai un dégât des eaux et besoin de faire venir un couvreur: même refrain "oui oui je viens", et rien ne se passe, et dès qu'il pleut je serre les fesses...J'en suis à mon 3e appel ghosté pour ce point là.
Je vous avoue que je ne sais plus quoi faire. Je suis pourtant poli au téléphone, ma maison n'est pas dans un état catastrophique qui pourrait faire peur, je ne pense pas harceler (je fais en général: 1er contact=appel téléphonique, puis relance SMS après quelques jours, puis 2e appel téléphonique environ 1 à 2 semaines après). Il y en a eu une dizaine comme ça... Je ne suis dépanné pour rien, je n'ai pas de proches pour m'aider, sur AlloVoisins aucun n'a le profil pour ça, je suis désarmé... C'est pareil chez vous? Quels conseils vous auriez? J'imagine que c'est parce que ce sont des "petites" tâches et que ça ne les intéresse pas ? Merci d'avance.
2023.06.06 11:47 Significant-Use2821 Rejoignez les rangs des clans de Diablo IV et découvrez la force de l'unité !
Chers membres de la communauté,
Nous sommes ravis de vous présenter une nouvelle opportunité de renforcer vos liens avec d'autres joueurs passionnés : les clans de Diablo IV. Rejoignez-nous pour découvrir la force de l'unité et partager des aventures épiques avec des compagnons de jeu fidèles.
Les clans offrent un moyen de se regrouper avec d'autres joueurs partageant les mêmes intérêts, valeurs et objectifs. Que vous soyez à la recherche d'une communauté conviviale pour discuter, échanger des conseils et astuces, ou d'un groupe de chasseurs de démons compétitif pour relever des défis en équipe, il y aura un clan adapté à vos attentes.
En rejoignant un clan, vous bénéficierez d'une multitude d'avantages. Vous pourrez créer des liens durables avec vos coéquipiers, organiser des sessions de jeu régulières, participer à des événements exclusifs et profiter de l'expérience Diablo IV à un tout autre niveau. De plus, les clans constituent également un excellent moyen de partager des ressources, d'échanger des objets et de bénéficier du soutien d'une communauté soudée.
Que vous souhaitiez former votre propre clan ou rejoindre un clan existant, notre communauté est là pour vous aider à trouver la bonne fit. Utilisez ce message pour partager vos informations de clan, tels que le nom du clan, sa philosophie, ses objectifs, ses critères de recrutement et tout autre détail pertinent. Faites savoir aux autres joueurs pourquoi votre clan est le meilleur choix et quelles sont les valeurs que vous partagez.
Pour rejoindre un clan, consultez les commentaires de ce post et contactez directement les responsables des clans qui vous intéressent. N'hésitez pas à poser des questions, à demander des informations supplémentaires et à vous présenter. Rappelez-vous que l'esprit de camaraderie et le respect mutuel sont les piliers de notre communauté, alors soyez courtois et ouverts d'esprit dans vos interactions.
Que vous choisissiez de rejoindre un clan pour explorer le jeu en coopération, pour participer à des compétitions entre clans ou simplement pour élargir votre cercle de joueurs, nous vous encourageons à saisir cette opportunité de tisser des liens durables avec d'autres joueurs passionnés.
Rejoignez les rangs des clans de Diablo IV et découvrez la puissance de l'unité ! Ensemble, nous pourrons accomplir des exploits extraordinaires et marquer l'histoire de Sanctuaire.
Votre équipe de modération et BobyGee
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En rejoignant un clan, vous bénéficierez d'une multitude d'avantages. Vous pourrez créer des liens durables avec vos coéquipiers, organiser des sessions de jeu régulières, participer à des événements exclusifs et profiter de l'expérience Diablo IV à un tout autre niveau. De plus, les clans constituent également un excellent moyen de partager des ressources, d'échanger des objets et de bénéficier du soutien d'une communauté soudée.
Que vous souhaitiez former votre propre clan ou rejoindre un clan existant, notre communauté est là pour vous aider à trouver la bonne fit. Utilisez ce message pour partager vos informations de clan, tels que le nom du clan, sa philosophie, ses objectifs, ses critères de recrutement et tout autre détail pertinent. Faites savoir aux autres joueurs pourquoi votre clan est le meilleur choix et quelles sont les valeurs que vous partagez.
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2023.06.06 11:46 batchshell STB de couper les ponts avec ma mère peu à peu?
Bonjour, Voici un peu le contexte. Moi et mon frère avons grandi au sein d'une famille "particulière". Mon père est un manipulateur avéré que les anglo saxons appellent covert narcissistic et ça fait longtemps que j'ai coupé les ponts avec lui. Ce qui fait qu'il ne me reste plus que ma mère. Sauf que j'ai toujours eu une relation tendue avec elle du fait de ses accès de colère, de violence verbale et parfois physique.
Par exemple: pour mes études, j'étais éligibles à des cursus sélectifs dans d'autres villes mais faute de moyen pour déménager, ils ne m'ont pas soutenu et forcé à rester tout près. J'avais compris la décision mais j'ai partagé ma déception. Ce à quoi elle répondait "tu veux être une p*** sous les ponts la bas c'est ça ?". Elle sort régulièrement des réflexions obscènes dans le genre.
Pour ce qui est de la violence physique, des jets d'eau glacé, d'objets, giffle pour des erreurs purement humaines (oubli, flemme, curiosité ou phase aventurière d'enfant, mauvaise note a l'école). Je précise que nous n'étions pas des gosse à problème (poli, sociable au contraire).
Je me retrouve alors anxieuse, somatisante et avec un taux de cortisol élevé. Ces derniers temps, j'essayais de la sortir de sa situation instable et je m'en prenais plein la figure. Je faisais de mon mieux mais elle râlait tout le temps, ou comparait mes efforts(administratifs,social et financier) à ceux de membre de la famille qui l'invitaient au resto. Bref, je lui écris rarement. Elle m'a appelé en hurlant et en souhaitant la mort de mon compagnon (car elle pense que c'est à cause de lui que je l'ignore) et à dit à mon frère que je lui ai brisé le cœur. Je ne sais pas si je dois faire du low contact ou du no contact carrément à ce stade.
submitted by batchshell to suisjeletroudeballe [link] [comments]
Par exemple: pour mes études, j'étais éligibles à des cursus sélectifs dans d'autres villes mais faute de moyen pour déménager, ils ne m'ont pas soutenu et forcé à rester tout près. J'avais compris la décision mais j'ai partagé ma déception. Ce à quoi elle répondait "tu veux être une p*** sous les ponts la bas c'est ça ?". Elle sort régulièrement des réflexions obscènes dans le genre.
Pour ce qui est de la violence physique, des jets d'eau glacé, d'objets, giffle pour des erreurs purement humaines (oubli, flemme, curiosité ou phase aventurière d'enfant, mauvaise note a l'école). Je précise que nous n'étions pas des gosse à problème (poli, sociable au contraire).
Je me retrouve alors anxieuse, somatisante et avec un taux de cortisol élevé. Ces derniers temps, j'essayais de la sortir de sa situation instable et je m'en prenais plein la figure. Je faisais de mon mieux mais elle râlait tout le temps, ou comparait mes efforts(administratifs,social et financier) à ceux de membre de la famille qui l'invitaient au resto. Bref, je lui écris rarement. Elle m'a appelé en hurlant et en souhaitant la mort de mon compagnon (car elle pense que c'est à cause de lui que je l'ignore) et à dit à mon frère que je lui ai brisé le cœur. Je ne sais pas si je dois faire du low contact ou du no contact carrément à ce stade.
2023.06.06 11:45 Significant-Use2821 Thread pour jouer en groupe
Chers membres de la communauté,
Nous avons tous hâte de plonger dans les profondeurs ténébreuses de Diablo IV et de vivre des aventures épiques. Et quoi de mieux que de les partager avec d'autres joueurs passionnés ?
La coopération est au cœur de l'expérience de jeu de Diablo IV. C'est pourquoi nous vous invitons à vous joindre à nous pour des sessions de jeu en coopération inoubliables. Rassemblez vos amis, formez des groupes de chasseurs de démons et partez ensemble à la conquête de Sanctuaire.
En coopération, vous pourrez affronter des hordes de démons redoutables, explorer des donjons sombres, résoudre des énigmes complexes et trouver des trésors légendaires. La coordination, la stratégie et le travail d'équipe seront essentiels pour triompher des forces du mal qui se dressent sur votre chemin.
Que vous préfériez jouer en ligne avec des amis ou que vous souhaitiez rencontrer de nouveaux compagnons de jeu, notre communauté est l'endroit idéal pour trouver des partenaires de coopération. Organisez des sessions de jeu, échangez vos ID de jeu et formez des équipes redoutables pour affronter les défis les plus redoutables de Diablo IV.
N'oubliez pas que Diablo IV offre également la possibilité de partager des objets et de se soutenir mutuellement. Vous pourrez ainsi prêter main-forte à vos coéquipiers, échanger des équipements pour renforcer vos capacités et construire des synergies dévastatrices entre les différents personnages.
Participer à des aventures en coopération dans Diablo IV est une expérience incroyablement gratifiante. Non seulement vous pourrez relever des défis plus difficiles, mais vous pourrez également tisser des liens avec d'autres joueurs partageant la même passion. L'entraide, la camaraderie et les moments de victoire partagés créeront des souvenirs qui dureront longtemps.
Rejoignez-nous dès maintenant pour des aventures coopératives inoubliables dans Diablo IV ! Que vous soyez un joueur chevronné à la recherche de nouveaux défis ou un novice désireux de découvrir la magie de la coopération, il y a une place pour vous dans notre communauté.
Préparez-vous à explorer les terres sinistres de Sanctuaire en compagnie d'alliés loyaux. Ensemble, nous vaincrons les ténèbres et écrirons notre propre légende.
Votre équipe de modération et BobyGee
submitted by Significant-Use2821 to diablo_IV_France [link] [comments]
Nous avons tous hâte de plonger dans les profondeurs ténébreuses de Diablo IV et de vivre des aventures épiques. Et quoi de mieux que de les partager avec d'autres joueurs passionnés ?
La coopération est au cœur de l'expérience de jeu de Diablo IV. C'est pourquoi nous vous invitons à vous joindre à nous pour des sessions de jeu en coopération inoubliables. Rassemblez vos amis, formez des groupes de chasseurs de démons et partez ensemble à la conquête de Sanctuaire.
En coopération, vous pourrez affronter des hordes de démons redoutables, explorer des donjons sombres, résoudre des énigmes complexes et trouver des trésors légendaires. La coordination, la stratégie et le travail d'équipe seront essentiels pour triompher des forces du mal qui se dressent sur votre chemin.
Que vous préfériez jouer en ligne avec des amis ou que vous souhaitiez rencontrer de nouveaux compagnons de jeu, notre communauté est l'endroit idéal pour trouver des partenaires de coopération. Organisez des sessions de jeu, échangez vos ID de jeu et formez des équipes redoutables pour affronter les défis les plus redoutables de Diablo IV.
N'oubliez pas que Diablo IV offre également la possibilité de partager des objets et de se soutenir mutuellement. Vous pourrez ainsi prêter main-forte à vos coéquipiers, échanger des équipements pour renforcer vos capacités et construire des synergies dévastatrices entre les différents personnages.
Participer à des aventures en coopération dans Diablo IV est une expérience incroyablement gratifiante. Non seulement vous pourrez relever des défis plus difficiles, mais vous pourrez également tisser des liens avec d'autres joueurs partageant la même passion. L'entraide, la camaraderie et les moments de victoire partagés créeront des souvenirs qui dureront longtemps.
Rejoignez-nous dès maintenant pour des aventures coopératives inoubliables dans Diablo IV ! Que vous soyez un joueur chevronné à la recherche de nouveaux défis ou un novice désireux de découvrir la magie de la coopération, il y a une place pour vous dans notre communauté.
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Votre équipe de modération et BobyGee
2023.06.06 11:40 Hrognaar Séparation,dettes et obligation familiale
Bonjour,
Ceci est mon premier post ici, veuillez m'excuser si la question est mal formulée.
Contexte : J'ai 27 ans. Mes deux parents sont séparés depuis que je suis tout petit. J'ai vécu et grandi avec ma mère. Quelques années après sa séparation mon père a refait sa vie avec une nouvelle compagne (appelons la M.). Mon père est alcoolique depuis toujours et n'a jamais su se gérer administrativement, ce qui fait qu'il est régulièrement dans des situations financières super compliquées. Il a beau avoir été un parent aimant à mon égard il n'a jamais fait grand chose pour m'élever (jamais payé de pension ailmentaire à ma mère). A cause de ça tout le monde (ma mère, ses frères et sœurs, moi) s'éloigne progressivement de lui car c'est la seul façon qu'on ai trouvé de se protéger. Plus les années passent moins je parle à mon père car je souffre trop de ses problèmes et j'essaie de me protéger. Mes oncles et tantes sont également distants de mon père car ils ont souffert de ses problèmes d'argent et d'alcool par le passé. Ma grand mère(veuve,90 ans) en a également toujours souffert et dois en être préservée un maximum.
Problème (hormis la première phrase tout ce paragraphe n'est que la version de M., j'ai essayé de confronter mon père la dessus mais il botte en touche et reste évasif) : Il y a 6 mois mon père a quitté M. de façon assez brutale pour faire sa vie avec quelqu'un d'autre. D'après M. (mon père ne me parle jamais de ses problèmes administratifs), elle et lui seraient endettés ensembles à hauteur de plusieurs dizaines de milliers d'euros. La principale raison étant de fausses déclarations à la CAF pour toucher des aides indues(il y a également d'autres dettes liées à d'autres impayés de mon père). M. a déjà payé énormément pour cette dette ( tout son héritage y serait passé), et étant séparée de mon père ne souhaite pas devoir payer d'avantage. Mon père refuse de signer un papier reconnaissant la séparation afin que M. ne soit plus rattachée à cette dette et M. reçoit toujours les recommandés la sommant de payer cette dette. J'ai envie d'aider M. car elle n'a plus à payer cette dette et car je suis outré par les actes de mon père. Désemparé par la situation j'en ai informé mes oncles et tantes qui veulent m'aider à gérer ça, afin surtout d'éviter des problèmes à ma grand mère. Aujourd'hui M. nous en veut de nous éloigner de Papa et de l'avoir laissée le gérer pendant des années. Elle commence à agiter des menaces d'huissiers/avocats pour arriver à ses fins.
Question : Indépendamment des différents familiaux(entre mon père et M., entre mon père et sa famille) dans quelle mesure les dettes de mon père peuvent-elles nous retomber dessus? Si mon père venait à perdre son travail/logement (d'après M. on en serait plus très loin) dans quelle mesure serions nous(sa famille) tenus de subvenir à ses besoins? D'après mes oncles et tantes le patrimoine familial restant ne permettrait pas d'éponger les dettes de mon père et ils souhaiteraient le sauvegarder dans la mesure du possible pour payer un ehpad à ma grand mère si jamais cela devient nécessaire. Si mon père ne lui signes pas ce papier (ce qui serait ammoral de sa part) a-t-elle vraiment des recours pour se retourner contre nous?
submitted by Hrognaar to conseiljuridique [link] [comments]
Ceci est mon premier post ici, veuillez m'excuser si la question est mal formulée.
Contexte : J'ai 27 ans. Mes deux parents sont séparés depuis que je suis tout petit. J'ai vécu et grandi avec ma mère. Quelques années après sa séparation mon père a refait sa vie avec une nouvelle compagne (appelons la M.). Mon père est alcoolique depuis toujours et n'a jamais su se gérer administrativement, ce qui fait qu'il est régulièrement dans des situations financières super compliquées. Il a beau avoir été un parent aimant à mon égard il n'a jamais fait grand chose pour m'élever (jamais payé de pension ailmentaire à ma mère). A cause de ça tout le monde (ma mère, ses frères et sœurs, moi) s'éloigne progressivement de lui car c'est la seul façon qu'on ai trouvé de se protéger. Plus les années passent moins je parle à mon père car je souffre trop de ses problèmes et j'essaie de me protéger. Mes oncles et tantes sont également distants de mon père car ils ont souffert de ses problèmes d'argent et d'alcool par le passé. Ma grand mère(veuve,90 ans) en a également toujours souffert et dois en être préservée un maximum.
Problème (hormis la première phrase tout ce paragraphe n'est que la version de M., j'ai essayé de confronter mon père la dessus mais il botte en touche et reste évasif) : Il y a 6 mois mon père a quitté M. de façon assez brutale pour faire sa vie avec quelqu'un d'autre. D'après M. (mon père ne me parle jamais de ses problèmes administratifs), elle et lui seraient endettés ensembles à hauteur de plusieurs dizaines de milliers d'euros. La principale raison étant de fausses déclarations à la CAF pour toucher des aides indues(il y a également d'autres dettes liées à d'autres impayés de mon père). M. a déjà payé énormément pour cette dette ( tout son héritage y serait passé), et étant séparée de mon père ne souhaite pas devoir payer d'avantage. Mon père refuse de signer un papier reconnaissant la séparation afin que M. ne soit plus rattachée à cette dette et M. reçoit toujours les recommandés la sommant de payer cette dette. J'ai envie d'aider M. car elle n'a plus à payer cette dette et car je suis outré par les actes de mon père. Désemparé par la situation j'en ai informé mes oncles et tantes qui veulent m'aider à gérer ça, afin surtout d'éviter des problèmes à ma grand mère. Aujourd'hui M. nous en veut de nous éloigner de Papa et de l'avoir laissée le gérer pendant des années. Elle commence à agiter des menaces d'huissiers/avocats pour arriver à ses fins.
Question : Indépendamment des différents familiaux(entre mon père et M., entre mon père et sa famille) dans quelle mesure les dettes de mon père peuvent-elles nous retomber dessus? Si mon père venait à perdre son travail/logement (d'après M. on en serait plus très loin) dans quelle mesure serions nous(sa famille) tenus de subvenir à ses besoins? D'après mes oncles et tantes le patrimoine familial restant ne permettrait pas d'éponger les dettes de mon père et ils souhaiteraient le sauvegarder dans la mesure du possible pour payer un ehpad à ma grand mère si jamais cela devient nécessaire. Si mon père ne lui signes pas ce papier (ce qui serait ammoral de sa part) a-t-elle vraiment des recours pour se retourner contre nous?
2023.06.06 11:34 NeosandsoeN Douleur aux jambes et surpoids
Bonjour,
Peut importe l'emploi que j'ai eu l'occasion de faire depuis mes 16 ans, j'ai toujours eu des douleurs liés à mon surpoids/obésité.
En ce moment, et depuis plus d'un an, j'ai un contrat 10h semaine en grande surface pour payer mes études.
Malheureusement, j'ai quelques douleurs :
-j'ai parfois mal au dos parce que j'arrive pas à me baisser correctement sur les jambes trop longtemps et suis obligé de me plier.
-j'ai des soucis de sudation (attention crado) j'ai tendance à énormément suer notamment du dos et des fesses et franchement c'est pénible...
-le pire, j'ai des énormes douleurs aux jambes et aux pieds. J'ai beau faire tout les efforts que je veux, je n'y arrive pas et suis obligé de m'assoir par moment. C'est vraiment rageant parce que ça colle pas avec mes envies : je suis bosseur, j'adore mon boulot et je déteste mal faire quelque chose et surtout être lent. Au début c'est les jambes, j'ai mal en marchant, et après ça descend jusqu'aux pieds où j'ai l'impression de me les faire écraser par en dessous en permanence, même assis et même quand ils ne touchent pas le sol.
Si je vous demande des conseils c'est parce que avec les vacances et l'arrêt des bourses scolaire et mon bas salaire, je n'ai pas le loisir d'aller chez le médecin au moindre maux.
Surtout que pour compenser l'arrêt de ma bourse, j'ai commencé un nouveau contrat chez eux en 34h, et ayant presque fini ma matinée aujourd'hui, je confirme que je n'y arriverais pas tout l'été avec des douleurs pareils.
Que faire ?
submitted by NeosandsoeN to questionsante [link] [comments]
Peut importe l'emploi que j'ai eu l'occasion de faire depuis mes 16 ans, j'ai toujours eu des douleurs liés à mon surpoids/obésité.
En ce moment, et depuis plus d'un an, j'ai un contrat 10h semaine en grande surface pour payer mes études.
Malheureusement, j'ai quelques douleurs :
-j'ai parfois mal au dos parce que j'arrive pas à me baisser correctement sur les jambes trop longtemps et suis obligé de me plier.
-j'ai des soucis de sudation (attention crado) j'ai tendance à énormément suer notamment du dos et des fesses et franchement c'est pénible...
-le pire, j'ai des énormes douleurs aux jambes et aux pieds. J'ai beau faire tout les efforts que je veux, je n'y arrive pas et suis obligé de m'assoir par moment. C'est vraiment rageant parce que ça colle pas avec mes envies : je suis bosseur, j'adore mon boulot et je déteste mal faire quelque chose et surtout être lent. Au début c'est les jambes, j'ai mal en marchant, et après ça descend jusqu'aux pieds où j'ai l'impression de me les faire écraser par en dessous en permanence, même assis et même quand ils ne touchent pas le sol.
Si je vous demande des conseils c'est parce que avec les vacances et l'arrêt des bourses scolaire et mon bas salaire, je n'ai pas le loisir d'aller chez le médecin au moindre maux.
Surtout que pour compenser l'arrêt de ma bourse, j'ai commencé un nouveau contrat chez eux en 34h, et ayant presque fini ma matinée aujourd'hui, je confirme que je n'y arriverais pas tout l'été avec des douleurs pareils.
Que faire ?
2023.06.06 11:33 MasterOsore Sortir seul, comment faire après toutes ces années ?
Bonjour,
Tout d'abord, sachez que depuis que je suis gosse, j'ai toujours été solitaire. Je préfèrais rester dans mon coin en écoutant de la musique (que quasiment tous le monde dans mon ancien bahut n'écoutait pas), et durant mes études, même si ça m'arrivait de sortir avec des amis et d'aller en soirée, j'étais souvent chez moi en train de jouer aux jeux-vidéos jusqu'à pas d'heures, regarder des films, etc.
Les discothèques, ça n'a jamais été mon truc, même si j'y suis déjà allé. L'ambiance ne me plaisait pas du tout, et je préfèrais plus aller dans des bars ou des concerts. J'ai souvent fait les choses seul quand je sortais en ville, mais quand il s'agissait d'aller dans des bars le soir ou des pubs, je ne voulais jamais y aller seul, car j'avais peur de passer pour le petit pomé qui cherche à boire des coups pour oublier ses problèmes, et ce sans parler à qui que ce soit; c'est d'ailleurs toujours le cas aujourd'hui à plus de 30 ans.
Parfois j'allais boire un coup avec mes collègues, mais comme j'étais pas souvent dans leur délir quand il parlait boulot ou autre, je finissait par m'ennuyer un peu, et donc j'ai préféré limiter les sortis avec eux malgré le fait qu'il y ait une très bonne entente.
Niveau relation avec la femme, j'en parle même pas ... J'ai tardé de ouf pour avoir ma première copine; ça fait 2 mois environ qu'on est ensemble, et pas encore de rapports sexuels (c'est elle qui ne veut pas pour l'instant), et je l'ai rencontré sur un site de rencontre, site sur lequel j'ai eu seulement 2 rendez-vous au total, pour 100 messages envoyés en 6 mois; une vraie cata qui ne m'encourage pas à continuer.
Vous allez me dire que je devrais plutôt faire des rencontres dans des bars, des clubs sportifs, ou des choses comme ça. Mais moi, il faut savoir que l'inconnu ça m'a toujours fait peur de manière générale, notamment à cause de mauvaises expériences qui se sont multipliées avec les années, j'ai finis par perdre confiance aux autres. Je n'ai jamais aimé aussi déranger les gens quand ils sont entre potes ou en famille, et je n'osais jamais aborder des femmes en public, notamment à cause du fait que j'avais toujours peur de la suite (que ça soit négatif ou positif), et quand je n'ai pas confiance en moi, ça se remarque très vite, du coup je sais que ça ne peut aboutir à rien. Et puis avec le temps, je suis devenu beaucoup plus exigeant dans ce que je recherche, alors que j'ai quasiment aucune expérience réelle.
Au final, je n'ai que les sites de rencontre pour vraiment faire la connaissance de femmes, sauf que 1, c'est comme le casino, je perds beaucoup plus que je gagne, et 2, ça coûte cher.
J'ai quelques amis certes, mais ceux avec qui je sortais souvent et que je connais depuis le lycée, n'ont jamais été du genre à faire des nouvelles rencontres, et aujourd'hui encore quand on se voit, on ne fait pas des trucs vraiment oufs; en gros, j'ai l'impression de jamais avoir évolué avec eux.
Quant aux autres amis avec qui j'allais en boîte, en soirée, en weekend, et tout, ils font maintenant leurs vies avec leurs copains et leurs copines, et comme on n'est pas dans la même ville, je ne les vois presque plus.
J'ai en gros l'impression que je n'ai plus que mes proches avec qui sortir et faire des soirées avec leurs amis. Mais même si je rencontre leurs amis, je ne pourrai jamais rencontré de nouvelles filles car elles sont quasiment toutes en couples ou mariées.
Bref, vous l'auriez compris, je m'isole de plus en plus après toutes ces années à rester à l'écart des autres, à ne pas vouloir de faire de nouvelles rencontres malgré l'envie qui me ronge, et je trouve mon bonheur uniquement dans des activités solitaires, même quand il s'agit de sexualité (ça fait plus de 14 ans que je masturbe réguilèrement).
Même si aujourd'hui j'ai un très bon travail que j'adore, que j'ai réussi dans mes études, que je profite de la vie en voyageant, en faisant du sport, en m'intéressant à des activités comme la cuisine ou le bricolage, il me manque quelque chose de plus humains qui m'empêche réellement d'être totalement épanouie dans ma vie; et le pire, c'est que je cache cela à tout le monde, même ma famille, car j'ai pas envie de dévoiler tout ça, j'en ai trop honte.
D'autant plus que ce qui me décourage encore plus, c'est de voir mes proches et meilleurs amis se marier les uns après les autres, d'avoir leur propre maison, d'évoluer dans leur carrière, etc. En gros, j'exprime énormément de jalousie, et au lieu de me faire violence pour faire en sorte d'avoir la même chose, je subie cette violence et je m'isole par peur de passer pour un raté malgré toutes les choses dans lesquelles j'ai réussi. Je n'arrive même pas parlé de ça à ma copine, et vous savez sans doute pourquoi.
Quelle serait donc la solution pour sortir de ce cercle vicieux ? Je ne m'attends pas à une solution miracle, et je sais que vous serais nombreux à me dire d'aller voir une professionnel, mais là, après des années d'évolution avec ce genre de caractère et comportement, j'ai peur d'avoir énormément perdu en sociabilité, et même si un professionnel est formé pour aider les gens, j'ai peur que la moindre thérapie soit inefficace.
Avez-vous vécu des choses similaires ? Est-ce que vous avez des recommendations ? Merci
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Tout d'abord, sachez que depuis que je suis gosse, j'ai toujours été solitaire. Je préfèrais rester dans mon coin en écoutant de la musique (que quasiment tous le monde dans mon ancien bahut n'écoutait pas), et durant mes études, même si ça m'arrivait de sortir avec des amis et d'aller en soirée, j'étais souvent chez moi en train de jouer aux jeux-vidéos jusqu'à pas d'heures, regarder des films, etc.
Les discothèques, ça n'a jamais été mon truc, même si j'y suis déjà allé. L'ambiance ne me plaisait pas du tout, et je préfèrais plus aller dans des bars ou des concerts. J'ai souvent fait les choses seul quand je sortais en ville, mais quand il s'agissait d'aller dans des bars le soir ou des pubs, je ne voulais jamais y aller seul, car j'avais peur de passer pour le petit pomé qui cherche à boire des coups pour oublier ses problèmes, et ce sans parler à qui que ce soit; c'est d'ailleurs toujours le cas aujourd'hui à plus de 30 ans.
Parfois j'allais boire un coup avec mes collègues, mais comme j'étais pas souvent dans leur délir quand il parlait boulot ou autre, je finissait par m'ennuyer un peu, et donc j'ai préféré limiter les sortis avec eux malgré le fait qu'il y ait une très bonne entente.
Niveau relation avec la femme, j'en parle même pas ... J'ai tardé de ouf pour avoir ma première copine; ça fait 2 mois environ qu'on est ensemble, et pas encore de rapports sexuels (c'est elle qui ne veut pas pour l'instant), et je l'ai rencontré sur un site de rencontre, site sur lequel j'ai eu seulement 2 rendez-vous au total, pour 100 messages envoyés en 6 mois; une vraie cata qui ne m'encourage pas à continuer.
Vous allez me dire que je devrais plutôt faire des rencontres dans des bars, des clubs sportifs, ou des choses comme ça. Mais moi, il faut savoir que l'inconnu ça m'a toujours fait peur de manière générale, notamment à cause de mauvaises expériences qui se sont multipliées avec les années, j'ai finis par perdre confiance aux autres. Je n'ai jamais aimé aussi déranger les gens quand ils sont entre potes ou en famille, et je n'osais jamais aborder des femmes en public, notamment à cause du fait que j'avais toujours peur de la suite (que ça soit négatif ou positif), et quand je n'ai pas confiance en moi, ça se remarque très vite, du coup je sais que ça ne peut aboutir à rien. Et puis avec le temps, je suis devenu beaucoup plus exigeant dans ce que je recherche, alors que j'ai quasiment aucune expérience réelle.
Au final, je n'ai que les sites de rencontre pour vraiment faire la connaissance de femmes, sauf que 1, c'est comme le casino, je perds beaucoup plus que je gagne, et 2, ça coûte cher.
J'ai quelques amis certes, mais ceux avec qui je sortais souvent et que je connais depuis le lycée, n'ont jamais été du genre à faire des nouvelles rencontres, et aujourd'hui encore quand on se voit, on ne fait pas des trucs vraiment oufs; en gros, j'ai l'impression de jamais avoir évolué avec eux.
Quant aux autres amis avec qui j'allais en boîte, en soirée, en weekend, et tout, ils font maintenant leurs vies avec leurs copains et leurs copines, et comme on n'est pas dans la même ville, je ne les vois presque plus.
J'ai en gros l'impression que je n'ai plus que mes proches avec qui sortir et faire des soirées avec leurs amis. Mais même si je rencontre leurs amis, je ne pourrai jamais rencontré de nouvelles filles car elles sont quasiment toutes en couples ou mariées.
Bref, vous l'auriez compris, je m'isole de plus en plus après toutes ces années à rester à l'écart des autres, à ne pas vouloir de faire de nouvelles rencontres malgré l'envie qui me ronge, et je trouve mon bonheur uniquement dans des activités solitaires, même quand il s'agit de sexualité (ça fait plus de 14 ans que je masturbe réguilèrement).
Même si aujourd'hui j'ai un très bon travail que j'adore, que j'ai réussi dans mes études, que je profite de la vie en voyageant, en faisant du sport, en m'intéressant à des activités comme la cuisine ou le bricolage, il me manque quelque chose de plus humains qui m'empêche réellement d'être totalement épanouie dans ma vie; et le pire, c'est que je cache cela à tout le monde, même ma famille, car j'ai pas envie de dévoiler tout ça, j'en ai trop honte.
D'autant plus que ce qui me décourage encore plus, c'est de voir mes proches et meilleurs amis se marier les uns après les autres, d'avoir leur propre maison, d'évoluer dans leur carrière, etc. En gros, j'exprime énormément de jalousie, et au lieu de me faire violence pour faire en sorte d'avoir la même chose, je subie cette violence et je m'isole par peur de passer pour un raté malgré toutes les choses dans lesquelles j'ai réussi. Je n'arrive même pas parlé de ça à ma copine, et vous savez sans doute pourquoi.
Quelle serait donc la solution pour sortir de ce cercle vicieux ? Je ne m'attends pas à une solution miracle, et je sais que vous serais nombreux à me dire d'aller voir une professionnel, mais là, après des années d'évolution avec ce genre de caractère et comportement, j'ai peur d'avoir énormément perdu en sociabilité, et même si un professionnel est formé pour aider les gens, j'ai peur que la moindre thérapie soit inefficace.
Avez-vous vécu des choses similaires ? Est-ce que vous avez des recommendations ? Merci
2023.06.06 11:22 miarrial FRANCE - ALGÉRIE – Immigration : Édouard Philippe remet en cause l’accord de 1968 avec l’Algérie
 | Lien submitted by miarrial to francophonie [link] [comments] Dans un entretien à « L’Express », l’ancien Premier ministre a questionné le bien-fondé d’un accord qui organise l’accueil des Algériens en France selon des règles dérogatoires. Édouard Philippe (ici en photo à Toulouse le 11 avril dernier) s’est exprimé sur l’immigration en France dans un entretien à « L’Express » publié 5 juin. POLITIQUE - Édouard Philippe crève les « non-dits », quitte à prendre le risque de susciter la polémique. Dans un entretien à L’Express publié ce lundi 5 juin, le président d’Horizons a prôné la remise en cause d’un accord de 1968 avec l’Algérie sur les questions migratoires, et distillé plusieurs prises de position contre une « immigration du fait accompli », alors que le sujet agite la majorité et la droite. Cet accord organise l’entrée, le séjour et l’emploi des Algériens en France, selon des règles dérogatoires au droit commun. Sur certains points, les Algériens sont favorisés par rapport aux autres étrangers (notamment en matière de regroupement familial), sur d’autres ils sont perdants (notamment pour les étudiants). Ce texte « détermine complètement le droit applicable à l’entrée et au séjour des ressortissants algériens, avec des stipulations qui sont beaucoup plus favorables que le droit commun. C’est une particularité très nette. Aucun ressortissant d’un autre État ne bénéficie de tels avantages », a déclaré l’ancien Premier ministre. « Bien entendu, il y a des relations historiques extrêmement puissantes entre la France et l’Algérie, mais le maintien aujourd’hui d’un tel dispositif avec un pays avec lequel nous entretenons des relations compliquées ne me paraît plus justifié », a jugé Édouard Philippe. Intégration, islam et travailDans cet entretien, le prédécesseur de Jean Castex à Matignon a évoqué une « immigration du fait accompli » en France, avec « une accélération très forte de l’augmentation du nombre d’étrangers » depuis le début des années 2000. Et « la provenance géographique des étrangers, elle aussi, a changé », avec une plus grande proportion d’étrangers provenant d’Afrique du Nord et d’Afrique subsaharienne.« Pendant cette période, la population française a augmenté de 9 % et le nombre d’étrangers a augmenté de 53 %. Et rien dans cette évolution ne correspond à un choix politique ou à une décision que nous aurions prise », a poursuivi le maire du Havre. Édouard Philippe s’est attaqué à « trois non-dits » en matière d’immigration : « d’abord, on dit qu’on veut moins d’étrangers en France mais lorsqu’un certain nombre de nos concitoyens le disent, ils visent en réalité des personnes qui sont françaises, parfois depuis trois générations. Ce n’est pas le contrôle de l’entrée des étrangers en France qui réglera ce problème. C’est un sujet d’intégration, d’éducation, de civisme ». « Le deuxième non-dit concerne l’islam », devenu selon lui « un sujet central, un sujet inquiétant, un sujet obsédant. » « Enfin, il y a le non-dit du travail. Beaucoup de Français trouvent qu’il y a trop d’étrangers en France, mais dans les restaurants parisiens, dans l’industrie touristique, dans le secteur agricole, dans toute une série de secteurs économiques qui ne sont pas en crise et qui sont indispensables à la réussite française, on se repose sur un nombre d’étrangers tout à fait impressionnant », a-t-il développé. Une loi « nécessaire », mais « pas suffisante »L’ancien locataire de Matignon se dit « très en soutien des propositions formulées par Gérald Darmanin et Olivier Dussopt », alors que l’exécutif cherche les voix d’une majorité parlementaire avec LR sur le volet immigration. « Cette loi est nécessaire, mais je sais qu’elle n’est pas suffisante », précise-t-il néanmoins.Il se dit « opposé à toute régularisation massive et favorable au principe proposé par Olivier Dussopt : permettre à des gens exerçant des activités professionnelles dans des secteurs où l’intérêt national commande de pouvoir continuer à le faire. Je préférerais que cette régularisation se fasse au cas par cas ». Édouard Philippe dit comprendre « l’objectif poursuivi par LR », qui veut modifier la Constitution afin de pouvoir déroger au droit européen et international, mais « cette proposition n’est pas satisfaisante dans ses modalités. Elle serait interprétée pour ce qu’elle est, c’est-à-dire une forme de Frexit juridique ». |
2023.06.06 11:09 miarrial Bizutage mortel en BELGIQUE : Entre torture et « justice de classe », retour sur l’affaire Sanda Dia
 | Lien submitted by miarrial to francophonie [link] [comments] RÉCAP' Les 18 accusés ont été condamnés vendredi à des travaux d’intérêt général et une amende 400 euros, suscitant l’indignation dans le pays Publié le 05/06/23 à 18h08 Des manifestants brandissent des portraits alors qu'ils participent à un rassemblement contre la sentence clémente prononcée par un tribunal belge à l'encontre d'étudiants tenus pour responsables de la mort de Sanda Dia, à Bruxelles, le 4 juin 202
Quand et comment Sanda est-il décédé ?Anversois né d’un père mauritanien, Sanda Dia, 20 ans, entamait ses études d’ingénieur à la prestigieuse université catholique de Louvain (KU Leuven) à l’automne 2018. Le 4 décembre, au lendemain d’une épreuve de vente de roses dans la rue dont il était ressorti mal classé, il avait dû ingurgiter une quantité phénoménale d’alcool. L’enquête a montré qu’après plusieurs bières, il avait bu à lui seul un litre de gin, et que l’objectif était de ne pas le laisser dessaouler. Le robinet du lavabo de son appartement de Louvain avait été scellé au ruban adhésif pour l’empêcher de s’hydrater.Le lendemain, les épreuves s’étaient poursuivies autour d’un chalet isolé de la périphérie d’Anvers. Cette fois, le « bizut » devait séjourner dehors dans le froid dans un trou rempli d’eau glacée, après avoir avalé une mixture à base d’huile de poisson. Lors de ce bizutage infernal, l’étudiant a également été soumis à « l’ingestion forcée de bouillie pour chien et d’une souris malaxée, de torture animale et d’arrosage à l’urine », raconte Le Monde. Quand Sanda Dia est admis le 5 décembre au soir aux urgences d’un hôpital proche, la température de son corps est tombée à 28,7 degrés, une hypothermie rendant « toute prise de sang impossible », a raconté lors du premier procès en 2021 l’un des médecins l’ayant examiné. L’étudiant est rapidement transféré en soins intensifs dans un autre hôpital. Son décès est constaté le 7 décembre. L’œdème cérébral fatal résulte de teneurs en sodium anormalement élevées dans son corps, selon le dossier médical. Quelles sont les peines prononcées ?Des peines allant de dix-huit à cinquante mois de prison avaient été réclamées en mars, lors du procès devant la cour d’appel d’Anvers (nord). Mais la cour a été plus clémente, écartant notamment la prévention d'« administration de substance nocive ayant entraîné la mort. » Une référence à la mixture très salée à base d’huile de poisson qu’avait dû ingurgiter le « bizut », et dont les médecins ont estimé qu’elle était la cause de l’œdème cérébral fatal.Les 18 étudiants de la fraternité des Reuzegommers sont renvoyés en correctionnelle deux ans après les faits. Tous sont finalement tous reconnus coupables de « coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner. » Ils écopent selon les cas de 200, 250 ou 300 heures de travaux d’intérêt général – des « peines de travail » selon la terminologie belge –, ainsi que de 400 euros d’amende, sans compter les milliers d’euros de dommages et intérêts dus aux parties civiles. Outre l’administration de substance nocive, la cour a aussi écarté la prévention de « non-assistance à personne en danger. » Les membres de la fraternité Reuzegom à l’origine du bizutage « ont fait le nécessaire dès qu’ils ont vu qu’il était en danger », a commenté une porte-parole de la cour d’appel citant les motivations de l’arrêt. Après l’épisode du puits d’eau glacée, « ils lui ont donné des vêtements secs, ont essayé de le réchauffer ». Comment a réagi la famille de Sanda Dia ?La décision a été accueillie par la famille Dia avec « soulagement » et « frustration », selon les mots de Sven Mary, avocat du père. Lors du procès, ce dernier, Ousmane Dia, avait dit que mettre les coupables en prison « ne lui rendrait pas son fils », a rappelé l’avocat. Toutefois, « ils n’ont pas reçu les réponses qu’ils espéraient, en raison notamment du silence des Reuzegommers », a déploré Me Mary. Il a fustigé l'« omerta » qui a régné durant toute la procédure au sein du cercle étudiant à l’origine de ce bizutage. L’avocat estime par ailleurs dans une interview au média belge Humo « que le long cheminement juridique a joué en faveur des Reuzegommers ».Sven Mary va un peu plus loin dans l’interprétation du jugement. Cette fraternité, dissoute depuis, rassemblait des jeunes issus de milieux favorisés qui entendent faire carrière à grandes responsabilités. Les accusés ne font pas exception. Or, « si leur casier judiciaire contient les mots "homicides accidentels" et "traitements dégradants", cela aura un impact sur leurs possibilités d’emploi », analyse encore l’avocat dans la presse belge : « ces gars-là aussi veulent tous occuper des postes à responsabilité : juge, entrepreneur, politicien. Eh bien, je pense que les gens devraient savoir ce que les politiciens ont fait dans leur vie s’ils veulent voter pour eux. » Pourquoi les Belges ont-ils manifesté ?Environ 1.500 personnes, en grande partie des étudiants et des familles, ont manifesté dimanche à Bruxelles en mémoire de l’étudiant métis. « Justice for Sanda », « le silence tue », pouvait-on lire sur les pancartes brandies par les manifestants dans la capitale belge. Une autre manifestation a réuni dimanche après-midi un millier de personnes à Gand, en Flandre (nord), selon la police locale citée par l’agence de presse Belga. Elle était organisée par plusieurs associations de lutte contre les discriminations.L’un des organisateurs du rassemblement bruxellois, Jean Kitenge, a dénoncé auprès de l’AFP « une justice de classe ». « Est-ce que la sentence aurait été la même si les auteurs avaient été comme moi noir ou maghrébin ? », a-t-il interrogé, appelant aussi à « cadrer davantage les folklores étudiants. » Cet étudiant belgo-congolais, se disant touché à titre personnel par l’affaire, a rappelé que Sanda Dia n’était pas du même milieu social et de la même couleur de peau que les organisateurs du bizutage. Des fils de « l’élite » flamande, selon lui. Le rassemblement était symboliquement organisé devant le Palais de justice de Bruxelles, neuf jours après l’épilogue judiciaire, à Anvers (nord), de ce dossier qui a eu un gros retentissement, particulièrement en Belgique néerlandophone. |
2023.06.06 11:05 Lupinours57 Punk57 de Pénélope Douglas : Accroc à cette histoire captivante ! [Spoiler Free]
Hey tout le monde !
Je viens de dépasser la moitié du livre "Punk57" de Pénélope Douglas et je suis complètement accroc !
Franchement, je suis juste amoureuse du personnage masculin principal. Il est irrésistible, sérieusement, je suis sous son charme complet. Et Pénélope Douglas sait vraiment comment rendre ce personnage captivant et complexe.
Et j'adore le style d'écriture de Pénélope. Elle raconte cette histoire de façon simple et addictive, ce qui rend la lecture super plaisante. Les scènes intimes sont tellement bien décrites 😍.
Mais ce n'est pas seulement le personnage masculin qui me plaît, l'héroïne principale est également géniale. Elle a tellement de caractère, elle n'est pas juste une "plante verte" comme j'ai pu le voir dans d'autres livres du même genre. Et elle a aussi ses défauts, ce qui la rend tellement plus réaliste. J'adore la voir évoluer tout au long de l'histoire.
Je suis vraiment heureuse d'avoir commencé ce livre, j'ai hâte et peur à la fois d'en arriver au bout ! 😖
Si vous cherchez une romance avec des personnages forts et une écriture captivante, je vous recommande vraiment de plonger dans "Punk57" de Pénélope Douglas.
submitted by Lupinours57 to AmourEnLivre [link] [comments]
Je viens de dépasser la moitié du livre "Punk57" de Pénélope Douglas et je suis complètement accroc !
Franchement, je suis juste amoureuse du personnage masculin principal. Il est irrésistible, sérieusement, je suis sous son charme complet. Et Pénélope Douglas sait vraiment comment rendre ce personnage captivant et complexe.
Et j'adore le style d'écriture de Pénélope. Elle raconte cette histoire de façon simple et addictive, ce qui rend la lecture super plaisante. Les scènes intimes sont tellement bien décrites 😍.
Mais ce n'est pas seulement le personnage masculin qui me plaît, l'héroïne principale est également géniale. Elle a tellement de caractère, elle n'est pas juste une "plante verte" comme j'ai pu le voir dans d'autres livres du même genre. Et elle a aussi ses défauts, ce qui la rend tellement plus réaliste. J'adore la voir évoluer tout au long de l'histoire.
Je suis vraiment heureuse d'avoir commencé ce livre, j'ai hâte et peur à la fois d'en arriver au bout ! 😖
Si vous cherchez une romance avec des personnages forts et une écriture captivante, je vous recommande vraiment de plonger dans "Punk57" de Pénélope Douglas.
2023.06.06 11:02 Helpful_Vacation_319 [Débutant] Transformation vouée à l'échec ?
![[Débutant] Transformation vouée à l'échec ?](https://a.thumbs.redditmedia.com/SX9rcfJo4rcgoUMukNteDcbP3xUoHjt4wNT-CZF1i60.jpg "[Débutant] Transformation vouée à l'échec ?") | Bonjour à tous, submitted by Helpful_Vacation_319 to FitnessFrance [link] [comments] Compte jetable uniquement pour ce post. Comme vous avez pu le voir dans le titre, je suis débutant en musculation (depuis Septembre) mais je stagne déjà. Je viens d'avoir 26ans et je pense avoir une bonne hygiène de vie, que je vais détailler. Je fais 1m75 pour 70kg, j'ai toujours eu un physique de skinny fat. J'ai décidé de changer ça et je le suis un peu moins maintenant. Le problème est que j'avais fait Insanity en 2021 et j'avais atteint un poids de 63kg et un physique qui commençait à me convenir. Je ne sais pas ce que j'ai fait en 2022, mais mon physique s'est dégradé. J'ai donc repris la salle de sport en Septembre mais je n'ai pas de résultat visible et je stagne en termes de performance sur mes séances. Si vous vous demandez quel est mon objectif, il est cliché. Je veux prendre du muscle en diminuant le gras ou en en prenant le moins possible. Je veux de meilleures perfs (plus de force) sans avoir un physique grassouillet comme actuellement. Photo à l'appui, Août 2021 vs Juin 2023 : https://preview.redd.it/cpm1yx644d4b1.jpg?width=456&format=pjpg&auto=webp&s=752237efbfb183e9b0b40c6808996c4f9049b7b4 Je voulais donc avoir des avis sur ma diète et mes séances pour comprendre où ça coince et pourquoi. Voici ma diète : https://preview.redd.it/alkem0z74d4b1.jpg?width=257&format=pjpg&auto=webp&s=5ce636c2bf04a789114b1d9bb9df47e6b5c87743 Je mange ça tous les jours sans soucis. Je ne fais aucun restaurant et j’évite presque tous les écarts. En dehors des périodes de fêtes, je ne cheatmeal qu’une à deux fois par mois. Le but de cette diète était une stagnation pour prendre du muscle et perdre le peu de gras que j’avais. De Septembre à Décembre, mon poids a augmenté légèrement (+2kg, j’avais déjà pris du poids avant la salle) et je viens de vérifier ce matin, j’ai encore pris ~1kg (0.9kg pour être exact) depuis Mars 2023, donc ~3kg depuis Septembre 2022. Le problème est donc que mon physique se dégrade alors que je fais attention à tout. Je vais donc réduire 50g de poulet, 50g de riz, 25g de flocon d’avoine et le chocolat (-300kcal environ) pendant 3 mois afin de voir si je passe en maintenance. Cependant, je ne suis pas sûr que ce soit la bonne solution. Je suis donc ouvert aux propositions si quelque chose vous semble plus flagrant. Pour les dates, j’ai commencé cette diète un mois ou deux avant la première photo lorsque je faisais encore insanity. Niveau séances (avec mes dernières perfs) : https://preview.redd.it/6k9d6lh64d4b1.jpg?width=476&format=pjpg&auto=webp&s=5c4fb0317af8737345b6ceb5ec2dabb0798f481c Pareil, c'est une routine à laquelle je me tiens. J’ai décidé de faire un PPL car je trouvais ça plus fun et ciblé qu’un fullbody. Malheureusement, il y a un problème ici aussi. Mes performances stagnent. Plusieurs semaines/mois que je n'ai pas augmenté le poids au développé couché/ tirage vertical. J'ai souvent l'impression d'être cramé au bout de deux séries et, même avec un bon départ, je fini par ne pas augmenter ni le nombre de répétitions totales ni le poids sur un exercice. J'essaie toujours, soit d'aller jusqu'à l'échec (tout du moins, le plus proche) soit d'augmenter le poids/nb de reps. Je précise que ce problème se pose surtout sur des exos polyarticulaires du haut du corps. Niveau jambes, je m'en sors plutôt bien et je ne sens pas encore de stagnation, mais ça pourrait arriver car je reviens peut-être de plus loin dessus. Le principal problème de ce blocage est que ça me démotive et je me retrouve à changer d'exercice ou de passer sur une machine/aux haltères. Si encore j’avais une progression physique, je resterais motivé, mais là, je commence à me dire : À quoi bon faire tout ça ? Est-ce que je dois faire plus de séances ? Ou ajouter des petites séances pdc les jours où je ne vais pas à la salle. Rendre la séance abdo obligatoire ? Rendre le cardio systématique en fin de séance haut du corps ? Dois-je augmenter le nombre d'exercices ? Dois-je passer en FullBody ? Dois-je vraiment réduire les calories ? Dois-je continuer la stagnation calorique ? Partir sur une prise de masse pour avoir plus de muscle et une meilleure dépense calorique pour sécher ? Sécher immédiatement puis revenir en stagnation et répéter le cycle ? Prendre de la whey pour booster les protéines ? (ça aidera à réduire les calories ?) En bref, qu'est-ce que je fais mal ? Comment redresser la barre pour atteindre un physique qui me convient ? Prendre du poids me fait peur car j’ai vite l’impression, comme ici, d’être trop grassouillet, mais si je sèche, je me trouverais trop maigre avec peu de muscles et de force. Le pire étant que je n’ai réussi aucun des deux objectifs, mes performances stagnent et j’ai peur de devenir de plus en plus gras. Merci à ceux qui m'auront lus jusqu'au bout (surtout vu la longueur du post) et à ceux qui me répondront Résumé : J’ai fais de mon mieux niveaux diète et séances mais mes performances stagnent en plus de prendre du poids non voulu (principalement gras en plus) alors que je voulais juste faire une recomposition en prenant du muscle tout en perdant le petit surplus de gras sur j'avais. Je cherche donc ce que j'ai foiré |
2023.06.06 10:44 Kymz1712 [EU][FR] Guilde d’après-midi APRÈM 🐸 (Hyjal) recrute !
La Guilde de journée Aprèm 🐸 recrute !
Nous sommes des joueurs de l’Alliance installés sur Hyjal !
Notre particularité est de : Raid et Farm le contenu en tous genres, comme notre nom l’indique, l’après-midi !
⏰ Jours de raid : Mercredi, jeudi et lundi de 14h00 à 17h00.
MM+ et différentes activités les autres jours !
🎯 Notre objectif est double :
Avancer le plus loin possible sur le palier en cours. Nous voulons à terme clean le contenu haut niveau du jeu sans altérer le plaisir de jouer et l’harmonie de la Guilde !
Rassembler des joueurs sympatiques, motivés et matures jouant l’après-midi !
Notre guilde est composée de joueurs favorisant les Haut-Faits, de farmer de MM+, de collectionneurs et encore d’amateurs de PVP, …
Et surtout, nous avons tous en commun la passion des raids, en particulier HL.
Présence, performance et respect sont nos maîtres mots.
Forts de ces valeurs, nous recherchons des joueurs ayant la même ferveur et souhaitant prendre du plaisir tout en avançant dans le contenu.
☎️ N’hésitez pas à prendre contact avec nous sur Discord (discord.gg/tdymfjgEYM) ou directement en jeu (Kymz#2281).
submitted by Kymz1712 to wowguilds [link] [comments]
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⏰ Jours de raid : Mercredi, jeudi et lundi de 14h00 à 17h00.
MM+ et différentes activités les autres jours !
🎯 Notre objectif est double :
Avancer le plus loin possible sur le palier en cours. Nous voulons à terme clean le contenu haut niveau du jeu sans altérer le plaisir de jouer et l’harmonie de la Guilde !
Rassembler des joueurs sympatiques, motivés et matures jouant l’après-midi !
Notre guilde est composée de joueurs favorisant les Haut-Faits, de farmer de MM+, de collectionneurs et encore d’amateurs de PVP, …
Et surtout, nous avons tous en commun la passion des raids, en particulier HL.
Présence, performance et respect sont nos maîtres mots.
Forts de ces valeurs, nous recherchons des joueurs ayant la même ferveur et souhaitant prendre du plaisir tout en avançant dans le contenu.
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